Spectral Bis friqué produit par Netflix centré sur une opération militaire secrète dans une ville dévastée des pays de l'est. C'est plutôt pas mal, et assez original, bien qu'une référence absolue ressorte assez rapidement du film. En effet, suivre un bataillon de soldats super entrainés et armés jusqu'au dents évoluant dans un blindé au coeur d'un no man's land hostile et peuplé de créatures redoutables, on pense forcément au Aliens de Cameron. Pour les fans du film donc, ou même pour les gamers (j'ai pensé à Metal Gear Solid vite fait), Spectral est pour vous. C'est assez immersif, bien guerrier, et total surnaturel, puisqu'une force énergétique et spectrale décime tous les camps dans une zone de conflit, à moins qu'il ne s'agisse d'un prototype de camouflage hyper évolué. Va savoir...
L'étrange cas Deborah Logan Encore un found footage, les allergiques passeront donc leur chemin. On suit une petite équipe de tournage, qui pour boucler une thèse, va filmer quotidiennement une dame âgée atteint d'Alzheimer. Forcément, des vieux et un found footage, on pense direct au plutôt réussi The Visit du père Shyamalan, sorti pourtant un an plus tard. Alors, le réal de ce film, Adam Robitel, n'a pas le talent de Shyamalan, mais il se démerde plutôt bien pour nous plonger dans un thriller bien glauque fait de secrets, de rituels et autres babioles maléfiques. Parfois ça évoque Blair Witch, et à d'autres moment, plutôt Rec. Alors, si vous avez vu suffisamment de found footage, rien ou presque ne vous surprendra dans cette honnête flip horrifique, pourtant Robitel, qui tourne actuellement le prochain Insidious, parvient à produire un rendu bien malsain, malgré quelques longueurs ou clichés, et ses deux comédiennes principales sont terribles, surtout la vieille, complètement hallucinée. Il y a une scène à la fin, brrr.