Je ne me risque pas à condamner le film de manière irrévocable , dans le sens où, comme tu le fais remarquer, je n'ai pas vu le film dans son intégralité. Peut-être en effet que je loupe un chef-d'oeuvre ou une oeuvre qui provoquera un séisme retentissant dans le monde de l'horreur ... Après tout on ne sait jamais ...
Reste que, pour sûr, The Human Centipede est pas fait pour moi. Je me suis bien renseigné et vu les critiques globales, apparemment je loupe pas grand chose.
Après concernant mon pote, on est pas là pour débattre de ça mais voilà c'est quelqu'un qui a les mêmes goûts que moi, je le sais très bien, on a pour habitude de s'échanger nos critiques de films etc ...
Toute manière, je comprends que tu n'apprécies pas ma manière de faire (oui un "résumé" de film ne vaut clairement pas un visionnage) mais bon vu le nombre incalculable de films d'horreur qui sortent par mois, faut faire des choix. D'autant plus que je regarde des films de tous les
Horizons, même si je dois reconnaître que je garde un petit faible pour l'horreur.
C'est juste voilà t'y es allé un peu fort avec ta remarque sur le cinéma, c'est justement une de mes passions, je tiens à le souligner. J'ai expliqué ma démarche, voilà l'incident est clos.
Après niveau cinéma d'horreur, j'aime vraiment beaucoup de choses (l'époque n'a aucune importance pour moi, un film en noir et blanc peut très bien valoir un film des années 2000) , je vais pas étaler ici (je sais pas si c'était une question ta dernière phrase ...) mais je veux bien en parler, je recherche d'ailleurs constamment des nouvelles choses à regarder et j'adore échanger les points de vues etc ... Bon après il est possible que l'on diffère sur les registres spécifiques de l'horreur qui nous intéressent, mais ceci est une autre histoire !
Bon voilà, on arrête ici, on redonne la parole au cinéma !
Watching. Listening. Reading. Writing.
" Quiconque lutte contre des monstres devrait prendre garde, dans le combat, à ne pas devenir monstre lui-même. Et quant à celui qui scrute le fond de l'abysse, l'abysse le scrute à son tour "