cable regime



je l'écoute pas souvent mais à chaque fois il me procure la même sensation.

un truc électrique, inhumain, hors de nos considérations de tous les jours.........comme un renoncement  a un état et la découverte d'autre chose.

Un des nombreux projets parallèles de J.K Broadrick bien avant qu'il ne fonde jesu.

Excellent le nom du groupe !

Ok, pfwoaw grosse grosse intensité !
A part une intro perdue au milieu du champ de bataille ça ne redescend jamais.
C'est chaotique mais pour autant je trouve ça moins "oppressant" que du War From A Harlots Mouth (pas si éloigné dans le genre).
Et pas éloigné non plus de The Tony Danza Tapdance Extravaganza, y'a un côté Core barré effectivement (enfin j'ai trouvé).
Y'a des petits leads de gratte aussi par moments, complètement schizophréniques !

Je me le referai, merci pour le tuyau !

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Made it, Ma ! Top of the World !

A droite les brebis, à gauche les chèvres

Let's Go Celtics - RIP Bill Russell

Si tu as aimé cet album, je ne peux que te conseiller celui la :

Sworn In - The Lovers/The Devil

Bon là c'est du noise Hardcore un peu moins rapide mais toujours aussi barré,( un peu comme The Chariot), donc ca s'éloigne pas trop du style. En plus il y a quelques sonorités bien pensé et original.

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The Meads of Asphodel - In the Name of God, Welcome to Planet Genocide



The Meads of Asphodel, toujours des ambiances particulières, et cet EP n'y échappe pas.
Il s'inscrit dans la ligné de l'opus qui le précède (Damascus Steel) puisqu'il s'agit encore de thèmes liés à l'histoire de Yeshua. Ici on est dans un mélange entre Black, Crust, Punk, parfois Grind, le tout à la sauce Meads of Asphodel. C'est à dire avec des intrusions surprenantes de samples ou d'instruments en tout genres qui viennent de nulle part (March Towards Annihilation ou Aborted Stygian Foetus), ou encore avec la présence de cette sublime voix féminine sur The MAN Who Killed for God.
A l'exception de la reprise de Discharge (Hell on Earth), l'ensemble est excellent.

Rhha c'que j'adore les Meads ! On ne s'ennuie jamais, y'a toujours un truc pour attisé la curiosité des oreilles.

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Qui fait le malin, tombe dans le ravin

cursed of the golden vampire

https://www.youtube.com/watch?v=fo2fFFrMhL4




un des nombreux projets de mister J.Broadrick ( Godflesh, Jesu)

alors là ça tartine sec avec une boite a rythme DnB hyper rapide, des cris omniprésent comme dans Grey machine et des grattes bien bruyantes.

Faut tenir le choc.

Plus violent et plus dur a supporter sur la longueur serai le skeud de

venetian snare et speedranch - making orange thing



alors là les potos, celui qui arrive a s'enfiler le skeud d'une traite je lui tire mon chapal.

https://www.youtube.com/watch?v=JhJA-g5un8w

Ptain on dirait un Genocide Organ qui se serait acheté un groove et aurait tout composé sur une borne d'arcade.... C'est compliqué... trop le bordel... trop bad trippant

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Mankind is Dead. Blood is Fuel. Hell is Full

c'est clair que c'est space 

Shining - International Blackjazz Society (2015)

Je l'écoute pas mal en ce moment, faut dire que dès que l'album se termine on a tout de suite envie d'y revenir. Un très bon album, bien plus structuré que Blackjazz, mais quand même plus empreint de folie que One One One qui ne m'a jamais réellement transcendé à l'inverse de son grand frère. Je ne connais pas les albums qui précèdent Blackjazz mais on sent quand même une évolution très nette de la musique des norvégiens (ou plutôt celle de Jorgen Munkeby maintenant), avec un feeling très rock, ce qui a notamment été très développé dans One One One, alors que Blackjazz lui était plus dans un registre metal. Et puis toujours ce saxophone qui vient saupoudrer le tout dans des moments intenses de free jazz qui font que Shining est Shining et pas un autre groupe. Mais comme il a été noté dans la chronique d'Eternalis et dans les commentaires, Shining se rapproche parfois de l'univers industriel d'un Marilyn Manson, voire de Nine Inch Nails dans des parties presque électro.

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Deafheaven - New Bermuda (2015)

Comme je n'ai aucune idée d'où le mettre, je crois qu'il a tout à fait sa place dans les inclassables.

Je suis moins fan de cet album que du précédent, que j'écoute très souvent depuis un an, maintenant. L'aspect blackgaze s'efface beaucoup pour laisser place à une sorte de black Metal atmosphérique un peu spécial, pas vraiment black, mais toujours avec une vrai personnalité. Je regrette surtout qu'on ne retrouve plus ce mélange de tristesse et de joie très réussi sur le dernier album.

Mais globalement, c'est un bon opus.

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