Ce fut un bon week end ça.
On commence à Arlon le vendredi après midi, Poulpy et son frangin viènnent nous prendre à la sortie des cours, direction le supermarché pour se chopper deux trois bouteille.
A peine le temps de se poser qu'on doit déjà prendre Romain et Vassili à la gare, on mange puis on monte pour s'écouter le MCD de VOE, histoire de se mettre dans le bain, on s'enfile quelques bouteilles histoire d'être en bonne disposition pour samedi.
Reveil brutal le samedi pour se diriger vers la salle ou aura lieu le concert, on y retrouve quelques potes au Pouple, entrée en matière avec VOE qui nous balance un putain de show, il n'y avait que nous dans la fosse, mais putain qu'est ce que ça bougait bien non de Dieu !
Après ça, on monte se chercher deux trois cassiers pour patienter en attendant Agathocles. J'ai essayé de joindre Sath à ce moment là, mais j'avais oublié mon putain de code PIN, je téléphone donc chez moi avec un autre portable pour le récuper, finalement quand j'ai eu le numero à disposition Sath était au restau, enfin bref.
Nous voila donc dans la fosse pour
Agathocles, un putain de Grind bien puissant qui à balayé toute la salle.
Vient ensuite le tour d'Houwister, un tour dans la fosse que c'est déjà fini, putain c'était trop court.
Pour
Endstille, je ne peux que m'accorder avec Arch, un putain de concert, même si il est a regretter l'absence de Crucified et de
Defloration, mais on va pas chicaner pour si peu. Iblis à un carisme énorme, une putain de présence sur scène, une vraie bestiole cet homme là.
On a eu l'occasion de causer avec les mecs de VOE, très chouettes gars, ainsi qu'avec Wachtfels, lui aussi très sympa.
Nous avons eu quelques problèmes pour le retour étant donné que Pushdug ne se souvenait pas de la route. (Heureusement que Arnaud s'est souvenu qu'il y avait un GPS dans la voiture, sinon on y serait encore).
Bref, putain de week end, même si l'organisation laissait un peu à désirer.
C'est déjà un plaisir assez grand que celui de faire la guerre ; on est dans le bruit, dans la fumée, dans le mouvement ; et puis quand on s'est fait un nom […], quand on a fait Fortune, on est sûr que sa femme et ses enfants ne manqueront de rien ; tout cela est assez. Moi je puis mourir demain .