| Balze dit : Personnellement, pour avoir commencé à tâter du Death fin '91, je dois bien avouer que je n'ai perçu l'importance d'Immolation que des années plus tard. Je fais partie de ceux qui n'y ont rien compris. Le sommet de la chaine alimentaire (pour ce que j'en connaissais), c'était pour moi Blessed are the Sick, Human et Effigy. Certainement pas Immolation. |
| uberallescalifornia dit : citation :
à peu près pareil pour moi. j'avais écouté le premier Immolation grâce à un copain qui l'avait ramené en k7 d'un voyage à new york, ça m'avait glissé dessus. j'étais à fond dans des choses qui portent direct au foie, telles que Mental Funeral et Warmaster qui furent de véritables révolutions pour moi. Quand à human, c'est l'album à partir duquel j'ai commencé à arrêter avec death. |
| AngerMist dit : Voilà une autre preuve Pierre que le premier Immo est loin d'être le plus facile d'accès comme tu disais dans une autre discussion si je me souviens bien. Les compos sont vraiment plus chiadé et complexe qu'elles le laisse croire pour un premier disque, par contre je suis d'accord avec ce que tu as dit hier peut être pas le plus Brutal,rapide ou technique de l'époque, mais néanmoins le plus sombre ça c'est certain ! |