Pas vraiment d'accord avec le fait que
Nile se répéterait sur ce dernier album.
Autant c'était vrai jusqu'au précédent (l'exemple plus frappant étant le solo de fin de The Essential Salt dont la mélodie est repris à l'identique sur the Iskander D'Hul Kharnon).
Mais là, sur ce dernier album on perd pas mal en intensité et on gagne énormément en ambiance (le refrain en chant clair de The
Fiend Who... assez étonnant pour du
Nile), la quasi totalité des titres ont droit à leur petite intro, la voix de Toller-Wade est beaucoup plus céremoniel/ritualiste (et auquel il m'a fallu un certain temps d'adaptation).
Et dans l'ensemble, et c'est pour moi, le point vraiment négatif de l'album: il y a largement moins de moment uniquement instrumentale et des refrains immédiatement identifiables sur presque tout les titres.
Ce qui est quand même un peu con pour du Nile.
Du coup, c'est un album que j'apprecie, mais pas vraiment pour les mêmes raisons que les précédents...