Rhapsody of fire-Into The Legend
Alors, mon exemplaire arrive demain (avec la statue de
Dragon et tout et tout
), mais j'ai pas pu m'empêcher...trop tentant...et je sais que ça fait trois post que je ramène ma fraise avec Rhapsody, mais là non plus, je ne peux pas m'en empêcher, personne n'aime Rhapsody à la fac, il n'y a qu'ici que je peux en parler sans qu'on me traite de tantouze :D
Troisième écoute pour le moment, et y a pas à dire, ça dépotte ! On se demande si c'est bien Alex qui a composé l'album tant il est différent de Dark
Wings Of Steel. Là, il y a plus rien à voir, c'est un retour à la bonne époque, je pourrais le décrire comme un mélange entre
Power of The Dragonflame, Symphony Of Enchanted Land (le 1), et
Triumph Or Agony.
On retrouve beaucoup de sonorités baroques, comme dans les premiers albums (A
Voice In The
Cold Wind), des riffs supers incisifs mêlés aux orchestrations (Distant Sky, Valley Of Shadows), et des passages orchestraux démentiels (
Kiss Of Life et son passage acoustique juste magnifique porté par un duo entre Fabio et une chanteuse Lyrique...).
C'est enfin bien speed comme on l'aime, avec des putains de refrains de partout...une guitare qui enchaîne les solos (Le successeur de Turilli est largement à son niveau), et les superbes riffs (
Rage Of
Darkness et son riff syncopé, juste jouissif). En bref, l'album est une synthèse de ce qu'à fait Rhapsody jusque là, le groupe se permettant même d'incorporer un titre se rapprochant de Dark
Wings Of Steel par son côté Heavy (Realms Of Light), mais en bien plus aboutis et dynamique (ce riff Heavy jouissif...).
La pièce finale de 16 minutes passe toute seule, Alex a eu une putain de révélation dans cette album...c'est pas le meilleur album du groupe, mais j'ai jamais été heureux d'entendre Rhapsody faire du Rhapsody.
C'est un avis à chaud bien sûr, je me pencherai plus dans les détails lorsque j'aurai reçut mon exemplaire et qu'il tournera dans la platine, mais je peux sans problème affirmer que
Rhapsody Of Fire a détroné Turilli pour cette seconde manche.
Du Rhapsody comme on l'aime, et un petit retour aux sources qui fera plaisir aux fans de la première heure.