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Je vais tenter de me le procurer, car je dois confesser faire partie de ces inconsolables imbéciles d'un soir (sans m'attarder sur les raisons ayant conduites à ce comportement déraisonnable...) qui ne peuvent que s'abandonner au regret désormais. Et ce n'est pas faute de le savoir, ni d'avoir eu des protections sous la main (
), mais j'avais d'autres choses (relativement) censément plus sérieuses en tête sur le moment, et mon inexpérience m'avait poussée à croire que, puisque je n'en avais pas souffert une précédente fois dans des conditions semblables, je ne risquais sans doute rien.... Ma bêtise m'accable, en sus de mon insurmontable affliction déjà; le drame entraîne la tragédie dirait-on...
Bref, à défaut de pouvoir toujours faire preuve de bon sens ou de prudence, on pourrait enjoindre à systématiser certaines mesures (à l'instar de ces dispositifs électroniques limitant le niveau sonore des amplificateurs au seuil supportable par l'oreille humaine, tels qu'on en voit dans certaines salles de concert il me semble), notamment en considérant l'étendue des milieux concernés par ce problème en ce monde d'une grande bruyance, ainsi que sa gravité. Notre ouïe n'est pas conçue pour supporter ce genre de choses car la Nature ne recèle pas de bruit aussi puissant de manière constante comme peuvent l'occasionner les machines ou technologies, ni d'une telle agressivité. Mais encore une fois, l'Homme ne sait que s'imposer par la violence, plutôt que de trouver sa force dans l'harmonie (un peu de niaiserie)...
Voilà, voilà.
), donc je travaille avec des boules quies très souvent.
