Originaire de Nice le groupe est né en 1997 de la rencontre de 4 individus radicalement différents et étrangement complémentaires. Jérémie Boumendil(batterie), Syl20 Mori(guitares), Benoit Berrou(chant) et Grégory Fernandez(basse).

Dés le départ le souhait de la formation était de créer un univers personnel axé sur l'alchimie des personnalités, des émotions et sur l'énergie, c'est ainsi que cherchant à faire ressurgir des sentiments forts au travers de leurs instruments, ils ont trouvé un chemin qui leur ressemble et qui leur permet d'évacuer positivement un mal-être certain. Alternant des passages d'une rare violence et des envolées mélodiques, avec cette pointe de mélancolie, qui donne au groupe sa French touch, leur univers est construit autour de leur vécu. Forts de plus d'une centaine de concerts et d'une démo sortie en 2000, maldaurore se lance dans l'aventure « Kryzalyd » (sorti en janvier 2001), premier album autoproduit enregistré et mixé par Loïc Boisgirard (Lofofora, Money lisa…). Malgré une distribution quasi-confidentielle le groupe en écoulera prés de 500 exemplaires, la critique est élogieuse et le soutient des web-zines immédiat.
En 2002 Maldaurore est Sélectionnés pour le concours Onde De Choc de Roadrunner.
Ils apparaissent également sur la compile « SUDCORE » rassemblant les groupes métal du Sud de la France.
Suite à de nombreux concerts où le groupe a développé sa puissance scénique et motivés par l'accueil du public, MALDAURORE est actuellement en train de travailler sur l'enregistrement du successeur de « Kryzalyd »…
Fruit d'une remise en question totale et sincère de chacun des membres, ce 2eme album s'annonce comme étant radicalement personnel, en effet la musique a connu une mutation certaine. Plus lourd, plus violent et surtout débarrassé des influences passées, Maldaurore y exprime certains souvenirs amers, ses confrontations à l'existence et ses douleurs quotidiennes, tout en reprenant à son compte cette phrase célèbre de Lautréamont «J'ai chanté le mal… Naturellement, j'ai un peu exagéré le diapason pour faire du nouveau dans le sens de cette littérature sublime qui ne chante le désespoir que pour opprimer le lecteur, et lui faire désirer le bien comme remède». En marge de certains groupes qui s'acharnent à décrire le morbide de l'existence et de s'étendre en complaintes acides sur l'existence, maldaurore cherche, dans l'expression du mal-être à faire ressurgir le mauvais pour se débarrasser de ses sentiments, de ses frustrations et trouver la brèche par laquelle l'espoir renaît et la solitude s'estompe le temps d'un concert…