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Biographie : Caligula (BEL)

Fin 2007, après le split d’un groupe de metal progressif dans lequel Michel (basse) et Stephane (guitare) officiaient, les 2 amis se retrouvent autour d’un feu de camp (rapidement éteint par la police locale (on ne fait pas un feu au beau milieu d’un orphelinat, c’est très impoli)) pour débattre d’un futur musical commun. Michel (également bassiste dans Excavated) propose ses chansons à Steph. Le style sera dès lors clairement défini : il n’y aura pas de style… Ou alors il y aura plein de styles, ça dépend de comment vous voyez la bouteille, à moitié vide ou à moitié pleine (Si elle est à moitié pleine, je vous conseille de l’éloigner de votre ordinateur, elle risque de tomber sur votre clavier et votre ordinateur sera à moitié foutu). Le nom choisi sera Caligula, comme ça, tout le monde pourra nous demander pourquoi on a choisi Caligula comme nom de groupe.




Si vis pacem, para bellum : si tu veux la paix, prépare la guerre.





Je suis heureux de voir que vous avez déplacé votre bouteille, un accident est si vite arrivé. Étant donné que la base des compos reste metal, les 2 compères doivent s’adjoindre les services d’un batteur avec des bras comme des cuisses. «Je veux un canon de 75 à la batterie, nom di djû ! » (Michel Debois sur ses souhaits de voir débarquer un batteur à la frappe lourde dans le groupe). Dès lors, Sébastien Dispas (également batteur de Mactabis et avec qui Michel jammait régulièrement) rejoint le groupe. Il est de 79, mais tant pis, il est canon…




Nil desperandum : Il ne faut désespérer de rien




Steph, Miche et Séba (que nous appellerons Pim, Pam, Poum uniquement dans ce paragraphe pour éviter les redites) se mettent à la recherche d’un chanteur. Les premiers à s’essayer au chant échouent, non sans mérite, mais Pim est particulièrement exigeant. Les compos continuent à prendre forme sans chant, mais rapidement, Pim, Pam, Poum se remettent à la recherche de la nouvelle star… Qui se nomme finalement Laurent Wallraf (Chanteur de Salmonellose (Corrida Metal, R.I.P., groupe dans lequel évoluait également Pim)) et que nous appellerons Pom parce que Wallraf est un nom qui peut faire peur quand on le dit très vite. Pam et Poum sont ravis car ils connaissent également Pom (Il est le beau-frère du meilleur ami de Pam).




Nam et ipsa scientia potestas est : Savoir, c’est pouvoir




Une guitare, une batterie, une basse et un chant, c’est bien, des groupes ont fait de bons trucs avec cette configuration, mais les compos sont agrémentées de passages classiques au clavier, vestiges des cours d’orgue de Michel… enfin, « passages classiques »… pas toujours, dans ce cas, je vous propose de vous référer au premier paragraphe traitant de la bouteille à moitié pleine, et pour la dernière fois, rangez-la, elle est à moitié pleine!!! C’est Catherine Seba qui est choisie. Là aussi, une amie qui est la seule capable d’assurer derrière ce que les indiens appellent « machine à touches zébrées qui appelle les dieux »… Oui, un piano.




Plaudite, cives ! : citoyens, applaudissez !



Les 4 centurions et la centurione peuvent enfin sortir de leur cave et faire partager leur musique au public. Les premiers live sont un succès. Caligula partage l’affiche avec des groupes de Metal extrême et le public les reçoit extrêmement bien. De nombreux morceaux sont testés car le groupe s’apprête à enregistrer son premier album.





Exegi monumentum aere perennius : j'ai achevé un monument plus durable que l'airain.



C’est durant l’été 2010 que le groupe décide de se rendre au Jack Studio afin d’y enregistrer « Not too short to be great », album autoproduit et astro-régulé par Caligula. Les premiers succès critiques ne se font pas attendre. L’album se vend comme vache qui pisse.



Dum vita est, spes est : Tant qu’il y a de la vie, il y a de l’espoir.




Début 2011, Caligula doit faire face à un coup dur, le départ de la charmante centurione laisse les centurions à 4, tel une bouteille au 4/5ème plein mais également au 1/5ème vide (J’ignore comment vous avez fait pour remplir votre bouteille en si peu de temps). Obligés de lui trouver un remplaçant à la hauteur, ils recrutent Julien Cathalo (ex-Carnival in Coal)





Quomodo vales ? : comment allez vous ?



Premiers mots prononcés par Julien lors de son arrivée dans le groupe. Sa maîtrise derrière la « machine à touches zébrées qui appelle les dieux » enchante les autres musiciens et après quelques répétitions, Caligula reprend la route.



Panem et circenses : du pain et des jeux (du cirque)



Durant l’été 2011, Caligula sillonne la Belgique pour promouvoir son « Not too short to be great » avec notamment une prestation remarquée à la Fiesta du Rock de Flémalle. Chaque live est l’occasion de faire la fête et bien des bouteilles finissent à moitié vides.



Mihi cura futuri : Moi, je m'occupe de l'avenir.



Caligula travaille actuellement sur le successeur de son premier album tout en continuant à se produire un peu partout dans l’Empire Romain d’Occident. N’hésitez pas à nous partager, à dire à vos amis : « Tiens j’ai découvert Caligula, c’est génial, tu veux écouter ? J’ai acheté l’album sur I-tunes, installe-toi. Tu veux un verre ? ». Et là, vous le mettrez en garde sur les dangers des liquides sur votre clavier d’ordinateur.



Qui habet aures audiendi, audiat : que celui qui a des oreilles pour entendre entende.



À vous maintenant de Caliguler vos oreilles !





Utrem instillatur: La bouteille est tombée



Et pourtant, on vous avait prévenu!!!

Source : http://www.caligulabelgium.com