The space Cowboys ! Putain encore un nom à la con. Bon passons. Après tout y’a quand même Clint Eastwood et
Tommy Lee Jones qui jouent dans le film ! Ah ben non ! C’est du groupe dont on parle. Le groupe avec cette pochette ridicule où trois gugusses avec des masques qui le sont tout autant, se baladent en flics. Ben va falloir du courage.
Et finalement, qui est ce qui passe pour un con ; ben c’est bibi car
Dead end streets & devils night vous scotche aux murs sans crier gare.
Le quatuor est un pur produit scandinave dont seul le nord de l’
Europe à la recette. Dans la veine d’un PeterPan Speedrock, les gars ne se posent pas de question et envoient la sauce. Un déluge de décibels sans concession.
Pas de refrain, des titres hyper courts qui ne dépassent que rarement les 2 minutes 30. Autant dire que les gars vont à l’essentiel, jouant à fond la caisse sur les 32 minutes que dure l’album (pour 13 titres) Il ressort un sentiment d’urgence de chaque chanson.
Seul petit reproche : le manque de diversité dans l’album, mais la courte durée du disque corrige cette petite lacune.
Plus c’est long, plus c’est bon ; mais peut être dans pas dans ce cas là. Ce serait plutôt : « vite fait, bien fait ».
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