| Miskatonic dit : Je ne pense pas que Maniac (dans ses deux versions) soit à considérer comme un slasher pour la bonne et simple raison que la caméra subjective nous place justement du côté du tueur. C'est d'ailleurs ce qui procure la plus grande partie du malaise que ressent le spectateur. Puis l'idée d'accompagner ces plans subjectifs par la respiration rauque et haletante de Spinell, brrrrr. Ultra efficace. Malaise garanti. Dans les slashers proprement dit le spectateur est constamment du côté des victimes qui forment souvent un groupe et qui sont décimés une par une. Peu à voir donc. |