Intestinal
Disgorge -
Dripping in quiet places (2011)
Cet album est à l'image de sa pochette, une véritable boucherie : ça cogne, ça étripe et ça bastonne de tous les côtés.
Des rythmiques épileptiques, des vocaux de malades mentaux (tous les types de hurlements sont ici utilisés : vocaux écorchés, growls gutturaux,
Pig squeals, hurlements d'aliénés, vocaux gluants typiques goregrind ...), des guitares qui partent dans tous les sens, des morceaux aux
Structures parfois approximatives le tout parsemé de bons gros morceaux de crust/punk bien sales.
Bref une expérience assez unique, à ne pas mettre entre toutes les oreilles cependant ...
Pour nous t'étais mort !
Et Jeannie Longo c'est pas une femme ?