Ce soir, pas faute d'essayer encore et encore :
Ripper - Experiment Of Existence
Je sens le potentiel, le son met bien en valeur le côté sauvage façon Sepultura des premiers albums, mais je ne sais pas pourquoi, la batterie ne passe pas. Je ne parle pas du son, tout à fait en place et plus que correct, mais du jeu du batteur. Je n'aime pas. Et chez moi, la batterie est un instrument crucial (peut être bien au-dessus de tous les autres). Je suis capable d'écouter n'importe quel son de batterie, du moment que j'aime comment le batteur joue derrière ses futs. Mais aussi bon soit-il, si sa manière de jouer ne me parle pas, ça part mal. Et ça continue avec Ripper, désolé les gars !

Mais je retenterai !
Je retenterai, parce que des albums de cet acabit, ça me touche nettement plus que les dernières sorties des grosses pointures dont je hais le son de leurs albums au plus haut degré. Comme un pote me disait récemment, beaucoup de vieux groupes se contentent désormais de proposer ce que veulent entendre leur public. Peu ou pas (plus) de surprises dans leurs compos, un son propre sur lui, le public est content, ça fait vendre et roule ma poule. Je ressent exactement ça avec le dernier Testament : prod' trop sur son 31, des compos pas plus hallucinantes que sur les 2 albums précédents. Ca joue bien, ça thrashe encore super bien par rapport à du Megadeth ou du Metallica mais voilà, ça m'en touche une sans toucher l'autre.
Et donc, des albums comme celui de Ripper méritent que je m'y accroche. Je vais bien finir par y arriver