Le cas
Destruction est dur à analyser, à vrai dire. Peut-on les mettre dans ceux qui se sont vautrés ou dans ceux qui ont réussi ? Le fait qu'ils n'aient rien sorti dans cette période fait penser qu'il ont un peu voulu jouer la carte de la facilité. Mais ensuite, c'était peut-être aussi pour éviter de se ramasser carrément la binette et de revenir en force quand il le fallait. Cette traversée du désert leur a été propice d'ailleurs, quand on voit les très bons opus sortis post-2000.
Je n'étais pas là en 89-90 (enfin, si mais trop jeune pour m'en rendre compte), n'a donc pas les impressions de l'époque en mémoire pour vraiment juger si c'est un ratage ou un bien-fait. Je vois ca comme un auditeur de 2008.