| placentA dit : Le trip emo, c'est un mode de vie a la base, comme les gothiques... Pas un style vestimentaire. Apres moi les delires de depressifs, j'accroche pas. D'autant plus quand c'est des depressifs "mode" |
| DoctorOfNight dit : wiki est notre ami À l'origine, l'appellation emo était utilisée pour décrire la musique issue de la scène Hardcore de Washington, D.C. au milieu des années 1980. Plus tard, le terme emocore, abréviation d'« emotional Hardcore », fut également appliquée à la scène de Washington et à certaines des scènes régionales (aux États-Unis) qu'elle a engendrées. Les groupes les plus notoirement associés à l'emo à cette période comprennent Rites of Spring, Embrace, One Last Wish, Beefeater, Gray Matter, Fire Party et, un peu plus tard, Moss Icon. Le déclin de la première vague emo a débuté après la séparation de la majorité des groupes qui la composaient, au début des années 1990. À partir du milieu des années 1990, l'emo a commencé à refléter la scène indie influencée par le nouveau groupe de Ian MacKaye, Fugazi, lui-même un dérivé de la première vague emo. Des groupes comme Sunny Day Real Estate et Texas Is The Reason ont proposé un style emo plus proche de l'indie rock, plus mélodique et moins chaotique que son prédécesseur. Cette scène indie-emo a survécu jusque tard dans les années 1990, quand ses groupes-phares se sont séparés ou ont emprunté une voie plus grand public (mainstream). De nouveaux groupes ont alors commencé à imiter ce son plus grand public, créant le genre de musique aujourd'hui connu sous le nom d'emo dans la culture populaire. Cette appellation était utilisée dès ses origines pour qualifier une large variété de groupes, et le Spectre couvert par les groupes classés aujourd'hui comme emo, dans son sens moderne, est encore plus vaste, faisant de ce terme un qualificatif imprécis plutôt qu'un genre de musique spécifique. la desencyclopedie un peu moins... L’émo est une catégorie de jeune mâle humain qui dÉmontre une capacité fulgurante à s'enfiler des adolescents malgré une fifure évidente. Émo a une étymologie incertaine. Il peut provenir du mot hémorragie mais il s'agit sans doute d'une abréviation de émou, une expression d'origine portu-grecque signifiant « tapette ». L'émo[1] n'est pas vraiment un skater... ni tout à fait un gothique... ni un Krishna... ni même un boys band-pop... En fait, prenez tout ce qu'il y a de négatif dans chacun de ces genres et vous aurez votre émo, voilà. L'émo souffre croit souffrir en permanence. Il se complait dans sa souffrance infernale : plus de pile dans le Mp3, plus de céréales crunch, pas de bisous le soir pour s'endormir etc... [Cit° : "Putain, les mp3 c'est trop con, les parents aussi, ca sert a rien. Je souffre et tout le monde s'en fout ... Fucking World "] Il est un martyr des temps modernes et en tant que tel, il peut faire une tentative de suicide parce que maman n'a pas acheté d' Actimel. Telle est la devise du émo: “Life sucks, if only I could die.” Toutefois, l'émo de base semble prendre un malin plaisir à ne pas se rendre compte que personne ne l'en empêche. Car il faut le dire, l'émo souffre d'une maladie bénine : le suicide chronique. En effet, quand on l'entend ou que l'on voit ses pseudos, on doit se dire qu'il a au moins ressuscité une centaine de fois pour être encore en vie. |
| SatanSuperStar dit : J'adore la désencyclopédie, ça me fait marrer ce qu'il raconte sur Slipknot et tout ^^ |
| DoctorOfNight dit : citation :
ben on continue alors Comment reconnaitre un émo ? Reconnaitre un émo est assez aisé. En effet, grâce à sa grande mèche sur la figure (portée, à l'origine, pour cacher quelques pustules frontales disgracieuses), souvent grasse. Ensuite, l'émo se maquille, sûrement pour se donner une note "androgyne", "efféminée", qui peut tourner à la transsexualité. Il peut porter des piercings, histoire de faire sonner les portiques dans les aéroports, pour faire "rebelle anarchiste". Son allure est assez spéciale, c'est-à-dire qu'il porte essentiellement des hauts à rayure, ou bien à pois, parfois des T-shirts Bleeding star. Il a un slim, souvent un Cheap-Monday (il arrive sans problème à rentrer ses parties intimes, vu qu'il est castré). Ses chaussures sont essentiellement des Converses ou bien des Vans à damiers. Il arrive à porter des lunettes de Michel Polnareff en ayant l'air normal (ces lunettes font des yeux de mouche) ainsi que, parfois, des menottes attachées à son slim (pour les émos androgynes) ou leur mini-jupe léopard rose (pour les émos féminins). Il aime les smileys et les couleurs sur MSN et peut mettre en phrase perso MSN: En mode trop bad, la vie est nulle, 666, suicide . [MDR la fête d'hier soir, trop bon, lol, xD,PTDR,ROFLMAOZEDUNG !]. Il écoute souvent Kyo, Vengaboys, Billy Talent[2], Panic! At the Disco, AFI, My Chemical Romance, Indochine et du Métal Symphonique. Certains écoutent aussi Tokio Hotel, le groupe d'Allemands qui écume les hôtels pour éjaculer dans les oreillers, et Queen (seulement la toune Another one bite dans l'cul). L'émo aime les photos de lui-même. Elles sont toujours en noir et blanc et bien sûr en hypercontrasté histoire qu'on ne voit plus aucun de ses boutons (ça ferait tâche et plus du tout émo). Il s'arrange souvent pour que sa grosse mèche prenne toute la place. Ainsi, il est assez difficile de l'apercevoir, ce qui vaut mieux en général. L'émo mange du Special K©, mais nature ! Il peut aussi boire du lait mais obligatoirement écrémé. Il mange des repas congelés, de préférence Marie ou Picard, des chips voire les plantes vertes de maman. Il peut aussi sucer des glaces à l'eau (ça lui rappelle son premier concert de Tokio Hotel dans les loges). Parfois, il va aussi au MerDO. Il aime utiliser des mots dégueulasses en anglais du genre Rotten lungs, vomit in your trachea ou encore un menu maxi Best of s'il vous plait. |