Opeth : Morningrise
Dès l'intro d'Advent, son accélération à 10min, en passant par la lente remontée dans The Night And The Silent Water, puis par le break de Nectar vers 6min avant que n'arrive cette basse, puis cette vois claire, puis gutturale, acoustique puis électrique et sans oublier le schizophrénique Black Rose
Immortal, avec un premier solo génial vers 7min et surtout, celui vers les 16min, puis sa redescend, puis ce hurlement à 19min, et on arrive à To Bid You Farewell et les mélodies se répètent, encore et encore, avant les dernières 90 secondes, parfaites...