Bizarre que tu ne te rapelles plus Perfect Blue. Ce film est tellement glauque et stressant qu'il m'a marqué à vie.

En tout cas Kon c'est fait, maintenant faut que je voie les deux Hosoda qui me manquent, les enfants loups et Summer Wars

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Words and music. My only tools. Communication.

Bah le truc c'est que la dernière fois que je l'ai vu j'étais ado, je l'avais enregistré sur vhs, et le film m'avait déçu car je n'y ai pas trouvé ce que je cherchais à l'époque. Je l'ai donc regardé que d'un oeil et il est même possible que je ne l'ai pas vu entièrement. Mais il faut que je rectifie le tir aujourd'hui.

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"C'était moi qui étais le roi du quartier bien avant que tu ne sois une simple lueur dans les yeux d'un couple à la fin d'un concert des Eagles."

AL BUNDY

L'Age de Glace 5

Celui de trop je trouve, spectaculaire mais pas drôle et trop tiré par les cheveux niveau gags.

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Vu en salle, et tu n'as pas vraiment tort, Kira et Diego se retrouvent avec des rôles de figurants parce qu'un nouveau perso prend toute la place alors qu'il n'en vaut carrément pas la peine, les opossums Crash et Eddie sont au top niveau de la lourdeur et ne parlons pas du dénouement qui adresse un doigt monstrueux à la physique. Heureusement que graphiquement le film est magnifique, coloré et que l'animation est ici au meilleur niveau de la saga. Et voir Buck le cinglé avec la grand-mère de Sid c'était vachement cool quand même

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Words and music. My only tools. Communication.

Pour moi le 4 était déjà pas fameux...

J'ai bien rigolé avec le 1 et le 2, le 3 me plaît bien et la scène du gaz hilarant est vraiment drôle, mais j'en reste là. Je ne regarderai même pas le 5 je pense.

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Que dites-vous ?... C'est inutile ?... Je le sais !
Mais on ne se bat pas dans l'espoir du succès !
Non ! non, c'est bien plus beau lorsque c'est inutile !

Tygra La Glace Et Le Feu 1983

Deux royaumes ennemis s'affrontent : le royaume du feu gouverné par le roi Jarol, et celui de la glace, sous la coupe du puissant et cruel Nekron.



Je suis tombé sur la pochette sur mon site de DL, j'ai flashé direct, j'ai ensuite vue que c'était un animé. Mais franchement a part un passage romancé, je n'est pas eu l'impression de mater un dessin animé. C'est mature comme on est en droit de l'espérer.



Parmi les dessinateurs employés pour le film se trouve James Gurney, qui est peintre de décors ; il se fait connaître par la suite pour ses livres développant l'univers de Dinotopia. Parmi les chargés d'animation figure Peter Chung (non crédité au générique), qui devient par la suite réalisateur de longs métrages et de séries animées. "Source Wiki". 




Ayant admiré et créés un dossier image spécial Frank Frazetta, j'ai passé mon temps a faire des "Oh ça je reconnais" pochette d'album, illustration ambiance etc...




Les décors fait en peinture sont s.u.b.l.i.m.e, et l'animation est franchement très cool, réaliste dans ses mouvements, ses articulations et sa vie. Peut-être du à l'époque, c'est la première fois que je vois à ce point le côté "animation par feuilletage de page" à défaut d'avoir le terme technique je pense avoir été compris^^ je pense que c'est le plus vieux animé que j'ai vue jusqu’à présent mais c'est aussi l'un des meilleurs, sérieux si je l'avait découvert gosse ce serais mon préféré (quoi que je sais même pas lequel est mon préféré) mais pas a voir trop tot quand même, parce qu'on a des lézards qui avale des types, des cadavres qui reprennent vie, des blessures à l'arme blanche.

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La Tour au-delà des Nuages - Makoto Shinkai (2004)

Premier contact pour moi avec celui qui est bien souvent décrit comme un successeur/rival de Miyazaki, Makoto Shinkai. Et je suis assez circonspect.
Graphiquement, le chara-design se rapproche pas mal du Royaume des Chats c'est-à-dire pas laid mais pas époustouflant non plus. Par contre les décors et arrières-plans sont magnifiques, fourmillant de détails et très colorés. Les jeux de lumière sont très réussis et l'esthétique du film accorde notamment une prédominance assez surprenante à l'orange, ce dont je ne trouve pas encore la signification.

Le truc c'est que le scénario est assez maladroit. Les 20 premières minutes dressent un portrait de 3 personnages fréquentant le même lycée, on devine les relations qu'ils vont entretenir, on expose leur but etc... ces 20 premières minutes installent un rythme posé et lent (dans le sens positif du terme) qui me convenait MAIS, bim transition brutale, on est projeté 3 ans plus tard dans une toute autre ambiance. En fait j'ai l'impression que le film est tout le temps les fesses entre deux chaises entre un onirisme posé et sa toile de fond espionnage scientifique/guerre qui requiert quelque chose de plus rythmé. Et la poésie, même si elle n'est jamais niaise et magnifiquement montrée, nuit au déroulement des péripéties car frisant les incohérences et rendant le scénar quelque peu confus, difficile à suivre et avec en prime quelques points d'ombre.

Néanmoins il y a suffisament de belles choses pour que je continue sur la filmo de ce réal qui a notamment pondu The Garden of Words dont je n'entends que du bien.

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Words and music. My only tools. Communication.

J'ai dû voir ce film lorsque j'avais 8 ans.
Je ne comprenais pas grand chose mais je pense que c'est l'un des premiers films qui m'a permise de me passionner pour l'animation de type dessin animé.
Il fait partie de mes meilleurs souvenirs. Il faudrait que j'en profite pour le revisionner car cela fait tellement longtemps !

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Le Garçon et la Bête

Par Maroru Hosoda, le réal de l'excellent délire temporel, La Traversée du temps, et du poignant Les Enfants Loups. Bien aimé, un joli film, avec certaines des thématiques chères à Hosoda : l'initiation, la filiation, la métaphore animale... Pas mal d'humour aussi, pour alléger, ce qui a rendu hilare ma fille.

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Le Tombeau des Lucioles - Isao Takahata - 1988

Synopsis :
Au Japon en 1945, Seita et sa petite soeur de quatre ans, Setsuko, se réfugient chez leur tante après le bombardement de leur ville, la destruction de leur maison et la mort de leur mère. Rapidement ils comprendront qu'ils sont des fardeaux pour cette tante et décident de s'installer dans un abri désaffecté. Ce dernier est éclairé la nuit par des milliers de lucioles. Alors que les jours s'écoulent, la faim sévit...

Quelle claque... Je l'avais vu étant petit et de nombreuses scènes m'avaient marquées : la fuite de Kobé barbardée par des avions, la scène de la gare, la boîte de bonbon aux fruits...
Une histoire qui fait froid dans le dos, un des rares qui montre la guerre vue du côté japonnais. Je me suis demandé au bout de 20 minutes pourquoi j'avais voulu revoir ce film d'animation tellement il est dur. Une merveille, affreusement triste.

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"Les Pieds sur Terre, le Corps avec les Hommes, la Tête dans les Etoiles" MH