Far Cry 2 : De prime abord, on se laisse bercer par les hautes herbes et les montagnes qui dessinent le paysage africain, mais hélas l'ambiance et la jouabilité ne suivent pas : le jeu devient rapidement lassant, limite soporifique, l'action n'est pas vraiment au rendez-vous comme on le souhaiterait et, les tirs manquent de précision (un ennemi touché peut survivre avec 10 balles dans le corps s'il est shooté d'assez loin).

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euh, non...

J'ai adoré tous les Splinter Cell et celui là m'a bien botté également, il nous donne un regard nouveau sur la saga, plus sombre, plus violente, le fait qu'il soit porté plus vers l'action ne gâche en rien le plaisir de jeu.

D'ailleurs je considère les deux derniers Splinter Cell (double agent+ conviction) comme les meilleurs de la saga, après 3 épisodes excellent mais répétitifs la série s'est brillamment renouvelée.

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Et le corbeau, immuable, est toujours installé, toujours installé sur le buste pâle de Pallas, juste au-dessus de la porte de ma chambre ; et ses yeux ont toute la semblance des yeux d’un démon qui rêve ; et la lumière de la lampe, en ruisselant sur lui, projette son ombre sur le plancher ; et mon âme, hors du cercle de cette ombre qui gît flottante sur le plancher, ne pourra plus s’élever, — jamais plus !

@ Hellnecrophagist : Tu oublies aussi le fait que l'IA soit équivalente au QI d'une crevette et que les bots Respawn comme des lapins en moins de 30 secondes. Sinon je ne classifierais pas ce Farcry comme un navet, juste une grande déception au vu du potentiel...

Navy Seals: sea, air, land

Sans doute le pire FPS auxquel j'ai joué, c'est moche, le gameplay est ultra lourd, les ennemis sont des huitres les décors sont toujours les mêmes, chaque nouvelle session entraîne son cota de bug, bref une vraie bouse et il parait que le 2 est pire

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Et le corbeau, immuable, est toujours installé, toujours installé sur le buste pâle de Pallas, juste au-dessus de la porte de ma chambre ; et ses yeux ont toute la semblance des yeux d’un démon qui rêve ; et la lumière de la lampe, en ruisselant sur lui, projette son ombre sur le plancher ; et mon âme, hors du cercle de cette ombre qui gît flottante sur le plancher, ne pourra plus s’élever, — jamais plus !

Propose ce jeu à Chaka de jeuxdemerde.com, il va te le tester avec grand plaisir.

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Je m'en occupe dès demain

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Et le corbeau, immuable, est toujours installé, toujours installé sur le buste pâle de Pallas, juste au-dessus de la porte de ma chambre ; et ses yeux ont toute la semblance des yeux d’un démon qui rêve ; et la lumière de la lampe, en ruisselant sur lui, projette son ombre sur le plancher ; et mon âme, hors du cercle de cette ombre qui gît flottante sur le plancher, ne pourra plus s’élever, — jamais plus !