Pour la beauté du sport :
The Beatles - White Album (1968)
Il faut bien en choisir un, alors autant qu'il y ait de la quantité. Et je pense pouvoir décéder d'une intoxication à la noix de coco avant de m'en lasser.
Bob Dylan - Bootleg Series Vol.4 : Royal Albert Hall Concert 1966
Choisir entre Highway 61 et Blonde on Blonde me faisait risquer une attaque. Blood on the Tracks semblait aussi une évidence. Mais c'est ce Live qui m'a rendu incurable pour cet artiste, et je me vois bien en larmes avec une bouteille de rhum à moitié vide sous les étoiles tandis que résonne l'harmonica de Mr. Tambourine Man.
Metallica - Ride The Lightning (1984)
Pourquoi celui-ci plutôt qu'un autre ? Aucune idée, mais je suis persuadé que c'est le bon choix. Ce doit être Fade To Black qui a pris la décision pour moi en fait.
Justice mérite cette place mais j'aimerai bien emmener Cliff.
Sans Orion ni Master of Puppets, je me sentirai comme nu, mais Ride me semble plus indiqué pour la solitude extrême.
Et Kill'Em All perdrait de son sens s'il n'y a personne autour
Radiohead - In Rainbows (2007)
&
Ulver - Shadows Of The Sun (2007)
Deux évidences ancrées dans mes tripes.
Comme il n'y a pas de règle sur une île déserte, je ramène aussi sans que l'on ne s'en aperçoive une version du Requiem de Mozart, à écouter juste avant d'utiliser la seule balle que l'on m'aurait confié par humanité. Et avant cela j'aurai détroussé Noctiferion du Memoria Vetusta II, OoJuwoOo de son Opeth et HorseFucker du Coroner et du Slayer. Sans rancune les gars hein