Peut-être moins noire que la BO de
Requiem for a Dream, sa musique est encore plus envoutante, moins abyssale mais possédant une plus grande pression dramatique au fur et à mesure des titres et une petite connotation tribale parfois ("Tree of Life"), loin de l'atmosphère saturée et electro de Requiem...
Un compositeur qui semble se transcender à chaque film de Darren Aronofsky.
Welcome to the Desert of the Real