necromancien => ton argumentation a tendance à être foireuse, à l'image de ce magnifique paradoxe (faisons fi des fautes d'orthographes):
citation :| necromancien dit: C'est bien ce que je dit pendant Supuration ce n'était qu'un goupe de death banal, The Cube est arrivé, et tous le monde en a parlé et récoute les autres albums qu'ils ont sortis car ils ont suivi le meme chemin que The Cube, sans refaire un The Cube2, ils n'ont jamais fait le meme album que le précédant |
où tu t'emmêles royalement... puisque (allez va pour l'explication) tu dis tout d'abord que sous le nom
Supuration le groupe était une formation de death banal alors que tu cites ensuite leur premier album, pourtant sorti sous ce nom. La suite de ta phrase me paraît (à moins que tu ne t'exprimes tellement mal que j'en aurai mal compris le sens) quant à elle sous-entendre qu'à partir de cet album on a commencé à s'intéresser au groupe et au reste de leur discographie, alors que The Cube est leur premier album...
Autrement, dans tous les cas
Soulfly n'a rien à faire ici, ce n'est ni du death, ni l'exemple type du groupe qui "envoie la purée", alors je ne comprends vraiment pas l'exemple...
BEERGRINDER => ta vision du death est plutôt "bornée" (sans vouloir dire bête et méchante), et à vrai dire beaucoup trop pour moi même si je la comprends. Je trouve seulement dommage de réduire les choses à cela car je pense qu'il faut les prendre pour ce qu'elles sont, sans se limiter à de simple préconceptions de ce type, les limites sont toujours floues et même si l'Homme a besoin de repères, il faut savoir les effacer au maximum pour laisser la place à l'évolution... D'autre part, je suis le premier à soutenir qu'il y a une véritable essence death (et je ne parle pas tellement de caractéristiques en soi, même si ça en fait évidemment partie), et c'est d'ailleurs là où je te rejoins tout en étant à l'opposé, car je défends la pure essence du death et cela contre tous les jugements "matériels" qui voudraient me prouver le contraire, parce que je soutiens toujours que la forme n'est que le support du fond qui seul a véritablement de l'importance. Pour finir, je prends donc les choses pour ce qu'elles sont sans me livrer à des considérations superficielles, sans limite donc si ce n'est par rapport au fond envers qui je suis d'une intransigeance et d'un purisme sans équivalent.