Tout comme Bloodsong, je passe sous le scapel Polonais.
Un album noir violent au discours déclamés et à l'ambiance blasphématoire, une véritable ode à
Satan par la plus brutale des manières.
Une pochette superbe, énigmatique et dérangeante pour ce Death découpé à la serpette, par un
Inferno qui fait résonner l'enfer par son matraquage de grosse caisse, des riffs tout aussi inspiré et un chant d'outre tombe à faire pâlir Belzébuth lui même.
Sinon sa poutre