Evangelist - Deus Vult
Sans surprise, dans la droite lignée des deux premiers albums. Du bon Doom épique.
Mirror of Deception - The Estuary
Très plaisant. Morceaux très accrocheurs.
Candlemass - The Door to Doom
Un peu déçu pendant les premières écoutes, espèrant un peu bêtement un certain retour aux sources pour l'occasion, alors qu'on est pour le coup dans la droite lignée des albums avec Lowe, en terme de son comme de rythme. Rien de fondamentalement mal à ça, cela dit, et je l'apprécie de plus en plus.
On Thorns I Lay - aegean sorrow (2018)
Quel plaisir de retrouver les grecs à ce niveau, et ce doom-death typique de leur début, avec une production, elle, bien actuelle.
Acid Witch - witchtanic hellucinations (2008)
Doom-death psychédélique, là encore un album somptueux par son mix d'influences qui ne tourne pas beaucoup chez moi, ne l'ayant qu'en copie. Ce mix de psychédélisme 70 et de doom-death est encore plus assomant que de la super skunk.
holocaust_in_my_head dit :holocaust_in_my_head dit : Windhand - eternal return (2018)Ce groupe a toujours été rattaché au doom, ce qui n'était pas une hérésie, mais sur cet album, leur lourdeur est plus proche d'un Soundgarden par exemple, certains diront donc qu'ils sonnent Grunge, bien que pour moi ce terme ne veuille rien dire : quel rapport entre le coté noisy pop punk de Nirvana, le heavy Black Sabbath / Led Zeppelin de Soungarden, le heavy-punk de L7, le noisy rock punkifié de Babes In Toyland, etc... ? Ici on à l'impression d'avoir le son gressilliant, de "bleach" (Nirvana), avec sa basse et sa batterie bien mises en avant, ou de Sonic Youth, la lourdeur de Soundgarden, un coté psyché notamment dans ce chant posé, pour un résultat assez convaincant.
Jex Thoth - blood moon rise (2013)
Il commence un peu à dater ce dernier album de J.T., un subtil mélange de Black Sabbath et de Pink Floyd. Un album que je n'ai pas trop écouté, à sa sortie, à son achat, quelle erreur car on tient là un disque de très, très bonne qualité.
Witch Mountain : Mobile of Angels
Un album de doom US aux très bons relents bluesy, porté par la voix belle, lancinante et puissante de Uta Plotkin.
Paradise Lost - shades of god (1992)
Pas mon P.L. préféré, mais ça reste tout de même d'un niveau élévé, le chant s'éclaircit, le groupe accentue le côté gothic en s'éloignat sensiblement du death des débuts
Conan - existential void guardian (2018)
Ici on est bien sur toujours dans le doom mais en version Stoner / sludge, un album très lourd, très puissant (putain de son), au chant assez torturé voir plaintif, des riffs écrassant, accentués par cette batterie qui l'est tout autant.
Monolithe - nebula septem (2018)
Un album dont on découvre toujours de nouvelles choses à chaque écoute, jamais lassant, puissant, une production parfaite, un des must de l'année 2018.
Onirophagus - endarkenment (illumination through putrefaction) (2019)
On reste dans la lignée du précédent mais avec des morceaux qui s'étirent au maximum : 4 morceaux pour plus de 57 minutes (de plus de 10 minutes à plus de 22 minutes), mais l'ensemble me parait plus abouti, les mélodies plus travaillées. Il s'agit seulement de ma deuxième écoute, et ce n'est pas le genre d'album où tout est absorbé, découvert, avec deux écoutes.
