Moi pour DT je suis assez d'accord avec Eternalis, les claviers dans ce nouveau DT m'insupporte à la longue. On dirait parfois que les claviers sont sortis tout droit de la bande son d'un dessin animé pour enfant. Et je veux aussi dire un mot sur la batterie. Mike Mangini rempli son rôle, mais je trouve que les rythmiques sont un petit peu tout le temps pareil surtout quand il se balade sur les tomes en faisant des petits solos. Enfin bon c'est un petit peu foireux tout ça...

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''Ouvre moi le chemin afin que je sorte et que je marche, moi qu'Anubis a recréé.''
Cette voix se fit entendre jusqu'en Phénicie, et glaça le sang des morts le long de sa route.

Opeth "Damnation" (2003)

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La balle cède devant le mot, parce que le mot s'élève dans l’harmonie des forces en présence et fait surgir une énergie que les puissances matérielles ne peuvent contenir…
José Rizal

Machine Head "Unto the Locust" (2011)

MACHINE HEAAAD

Bon, il a bien sa place ici lui...la dimension progressive dans les Structures est poussé encore plus loin, de manière plus mélodique et les fans de la première heure, et même d'autres, risquent bien de conspuer un groupe qui a laissé une certaine partie de sa Rage et de son agressivité, même si on ne fait pas non plus proprement dans la dentelle.
La plupart des riffs restent assassins, la batterie cogne mais le chant de Rob arbore de plus en plus souvent des intonations très cleans, et certains titres (je pense "Darkness Within" qui est le Seul qui m'a paru désagréable à la 1er écoute) qui ont des connotations bien plus "nu" et accessible, comme si le groupe retombait un poil dans ses travers parfois...

Pour les soli, c'est une vraie boucherie en revanche, dans la droite lignée des deux derniers depuis l'arrivée de Phil Demmel...
Bon allez, j'y retourne...

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Welcome to the Desert of the Real

Enfin je peux mettre une oreille dessus. Il est en train de tourner actuellement et franchement ça s'annonce vraiment excellent.

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Watching. Listening. Reading. Writing.

" Quiconque lutte contre des monstres devrait prendre garde, dans le combat, à ne pas devenir monstre lui-même. Et quant à celui qui scrute le fond de l'abysse, l'abysse le scrute à son tour "

& again, j'attends encore quelques écoutes avant de me prononcer...

On est reparti

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Welcome to the Desert of the Real

Steven Wilson - Insurgentes

Ben tient ca m'a donné envie de le réécouter en achetant le dernier .

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Opeth "Deliverance" (2002)

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La balle cède devant le mot, parce que le mot s'élève dans l’harmonie des forces en présence et fait surgir une énergie que les puissances matérielles ne peuvent contenir…
José Rizal

 
Dream Theater "image and words"
 
Là c'est bien pas comme ma déception avec le "systematic...", les compos sont inspirés, mélodique et "violente" à la fois, il y a une part non négligeable d'émotion alors que l'exercice pratiqué à tendance à rendre le tout assez froid.
Après il y a certains passages ultra technique et chiant comme sur le titre "metropolis part 1" qui aurait pu être raccourcis, où chaque musicien y va de son solo, et au final c'est d'un chiant... ils auraient gagnés à gardé un côté plus direct comme sur les titres "pull me under", "take the time", "surrounded" ou "under a glass moon". Qui sont plus "simple" sans trop de démonstratif.
Mais bon c'est Dream Theater. C'est dommage car par moment ça fait très pompeux. Il n'empêche que ça reste un excellent album.

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"J'ai toujours préféré Bon Scott a Bryan..."

Albert Einstein

Nami - Fragile Alignments

Un premier disque d'une qualité remarquable, vraiment une écoute très agréable.