Dream Theater "A Dramatic Turn of Events" (2011)
Est-ce que ça me surprend ? Non pas vraiment, je le sentais gros comme maison...
Putain qu'est-ce qu'on se fait chiiiiiiiiiier
Troisième fois que je l'écoute et toujours impossible de sortir quelque chose de ce merdier aux claviers niaiseux à souhait, sans relief ni l'impressionnante galerie habituelle de sons de Rudess (enfin si, mais utilisé constamment en nappes), des grattes inexistantes, ou alors bateau au possible (ce riff quasi
Metalcore sur Build Me Up, Break Me
Down, on ne sait pas s'il faut aimer ou pleurer), un Labrie qui ne chante pas un mot plus haut que l'autre, et surtout, mais alors surtout ce Mike Mangini qui en live nous sort une batterie monumentalement inutile du genre "c'est moi qui est la plus grosse" (sérieusement, les trucs perchés à 2m de haut, j'ai des doutes sur l'utilité) mais qui ici, no montre pas grand chose, avec des rythmiques pas forcément impressionnantes (même si surement pas évidentes à jouer) et un aspect minimaliste qui déçoit grandement.
Dans le même genre, Octavarium le surclasse de la tête et des épaules, car n'est pas niais ni chiant comme peut l'être ce si bien nommé album (ils cherchent en plus). La pochette ressemblant à Falling into Infinity...on dirait bien que la musique aussi...
Welcome to the Desert of the Real