The Gates of SlumberTrès bien ce GoT mais trop court, au vu du style pratiqué c'est un EP, du Doom de tradition dans ou l'ombre de Black Sabath et de Saint Vitus est penchée sur le berceau, juste ce qui faut de grain, juste ce qui faut de Fuzz, juste tout bien, juste trop court
Encore
Le Hangman's Chair de mon côté ne va pas pas dépasser son prédécesseur, au même niveau, le format chanson courte fait que je n'aurais pas dis non à un peu plus de verbiage par moment. Après c'est du haut vol, les atmosphères tissées par les morceaux sont magnifiques, plus de lumière qu'avant dans la forme bizarement alors que pourtant....
Sorcerer - Reign of the reaper (2023)
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Me demande s'il aurait pas plutôt sa place en heavy ? 
Parce que heavy il l'est !
Mais aussi terriblement mélodique, avec un sens du riff impressionant, des soli particulièrement ciselés ("Unveiling blasphemy") et un chanteur délicieusement lyrique.
De quoi faire vaciller la couronne posée depuis des années sur la tête de Candlemass.
Avec le coup sur Candlemass je ne sais pas si je vais te payer un godet samedi toi.
Sorcerer à titre perso c'est pas ma came, trop emphatique et pompeux pour mes chastes oreilles.
Sinon Pothamus - Abur

Vendu pas Yassef sur RH comme un truc à la Om, et bien dans le trip contemplatif c'est vraiment pas mal ce groupe, rien de marquant mais un disque assez appaisant au final qui tranporte tout doucement. A prendre avec du CBD et gardez votre beuh pour Om
Y_RPLEUT dit : Avec le coup sur Candlemass je ne sais pas si je vais te payer un godet samedi toi.Sorcerer à titre perso c'est pas ma came, trop emphatique et pompeux pour mes chastes oreilles.
Ha ha, j'adore Candlemass et ce n'est pas leur manquer de respect que de trouver ce Sorcerer excellent ! 
Et pour la peine c'est moi qui paierais le premier samedi ... 
Lord Vicar - Fear no pain (2008)
Un doom trad' ultra classique (certains diront trop classique, mais depuis quand est-ce un défaut de répéter ses gammes en doom ?) , mélodique, pesant et d'obédience Sabbathienne.
Nettement moins aventureux que l'intouchable Reverend Bizarre mais parfaitement réalisé.
Carcolh - Twilight of the Mortals (2025)

Les Français continuent sur leur lancée avec un fort epic doom alternance passages plus heavy/accrocheur et d'autres plus atmo/plaintif aux relents Griftegard. Ca fonctionne toujours, mais histoire de chipoter ils n'ont pas monté le niveau par rapport au précédent.
Inborn Suffering - Pale Grey Monochrome (2025)

Avec ce 3ème lp, retour aux affaires après 13 ans. Projet mélo doom/death donc de la tête pensante de Morning Dawn. Ambiance plus triste mélancholique que colère et désespoir dans MD. C'est plus jolie et moins viscéral. Il n'en reste pas moins que cela passe très bien malgré une durée moyenne des morceaux de 10min. M'étonnerait que cela passe au dessus de MD. La qualité d'écriture est présente donc à voir avec les écoutes (l'album donne envie d'y revenir là où les précédents, dans mes souvenirs, sont meh).
Wyatt E. zamāru ultu qereb ziqquratu Part 1

1) déjà le titre de l'album j'ai fait copier
2) Première question lors de la mise de la galette: ils viennent d'ou? Moyen Orient? Inde?
Réponse de Liège
Donc là je suis à la deuxième écoute et c'est quelque peu destabilisant par rapport à mes écoutes habituelles, je n'ai pas trop de référentiel pour leur musique.
En premier jet je dirais que c'est un peu du Dead Can Dance de loin mélangé à du Doom et du Post bidule à la Cult of Lune (mais de loin aussi). C'est assez prenant ces atmosphères de danse de ventre et de sicaires enturbannés me vont bien. Heavy Psyche Sound a changé de désert sur ce coup là et à brule pourpoint c'est une bonne pioche. Le seul côté frustant c'est que ça ne fait que 35mn et tu as l'impresion de te trouver le caleçon aux chevilles le poirreau dressé sans qu'on te termine
Putain le Carcolh je ne l'ai toujours pas reçu, précommandé en vynile et ils ont eu des galère côté Sleeping Church (j'ai aussi la même côté Evlasting avec le Pneuma Hagion) donc toujours pas écouté et je ne lis que des bons retours

Ahab : The Giant
Leur venue au Court of Chaos (je serai retenu ailleurs, parce que je suis Born to Run aha) m'a donné envie de ressortir cet album, le dernier que j'ai choppé d'eux. Bien équilibré entre calme et tempête, avec toujours la menace de ce qui se cache dans les profondeurs. Vraiment bon
Un petit tour en Italie avec

Je les avais laissés avec leur 3ème album, Yoni, leur plus doom et beau. J'ai complétement fait l'impasse sur la suite jusqu'à la petite surprise de l'écoute du 1er extrait de ce 5ème LP. Le groupe accélère le rythme avec une bonne dose d'occult rock à la The Devil's Blood. Pas surprenant en soi, cf leur reprise de Somebody To love. Elément confirmé par leur prestation live, l'envie de tester l'album est présente. Le groupe développe donc son côté "rock" tout en restant dans son délire occulte (CROWLEY est écrit en grand). Ils gardent tout de même des aspects doom ou encore son chant théâtral à la Danzing, mais gagnent en efficacité et énergie (la durée des morceaux et de l'album sont plus courtes que d'habitude). Enfin, je peux comprendre que le côté 1er degré puisse faire rire (surtout avec des influences "dépassées"), mais la conviction et la ferveur (qu'ils ont toujours eu) donne ce petit truc en plus à la musique de ces bikers.
L'album du siècle non, de l'année non plus. Cependant, dans une autre approche, il me rappelle le 1er Friends of Hell pour son goût de reviens y très présent. Bref un album à haut potentiel addictif.
Messa - The Spin (2025)

Bonne nouvelle, les parties parlées/récitées en fin de clip ne sont pas présentes sur l'album. Ca évite le côté pédant.
Sinon, la bande à Sara continue de tester une nouvelle coloration/ambiance à chaque album tout en gardant sa base doom/rock aux pointes bluesy/jazzy. Après l'orient, on va dans les sonorités 80's un peu cold wave. Ca ne dépassera pas celles nocturnes et feutrées de Feast of Water. Question de préférence personnelle, car, encore une fois, tout est parfaitement en place et bien fait. On évite également les longueurs du précédent avec un album plus court (40min contre plus d'1H). Reste que malgré toutes les qualités (on ne revient pas sur le chant), il me manque toujours un je ne sais quoi pour dépasser le stade de "c'est classe" et être totalement absorbé dans l'histoire au lieu d'être spectateur.
CelestialFuneral dit : Un petit tour en Italie avec Caronte - Spiritus (2025)Je les avais laissés avec leur 3ème album, Yoni, leur plus doom et beau. J'ai complétement fait l'impasse sur la suite jusqu'à la petite surprise de l'écoute du 1er extrait de ce 5ème LP. Le groupe accélère le rythme avec une bonne dose d'occult rock à la The Devil's Blood. Pas surprenant en soi, cf leur reprise de Somebody To love. Elément confirmé par leur prestation live, l'envie de tester l'album est présente. Le groupe développe donc son côté "rock" tout en restant dans son délire occulte (CROWLEY est écrit en grand). Ils gardent tout de même des aspects doom ou encore son chant théâtral à la Danzing, mais gagnent en efficacité et énergie (la durée des morceaux et de l'album sont plus courtes que d'habitude). Enfin, je peux comprendre que le côté 1er degré puisse faire rire (surtout avec des influences "dépassées"), mais la conviction et la ferveur (qu'ils ont toujours eu) donne ce petit truc en plus à la musique de ces bikers. L'album du siècle non, de l'année non plus. Cependant, dans une autre approche, il me rappelle le 1er Friends of Hell pour son goût de reviens y très présent. Bref un album à haut potentiel addictif. Messa - The Spin (2025)
Bonne nouvelle, les parties parlées/récitées en fin de clip ne sont pas présentes sur l'album. Ca évite le côté pédant.Sinon, la bande à Sara continue de tester une nouvelle coloration/ambiance à chaque album tout en gardant sa base doom/rock aux pointes bluesy/jazzy. Après l'orient, on va dans les sonorités 80's un peu cold wave. Ca ne dépassera pas celles nocturnes et feutrées de Feast of Water. Question de préférence personnelle, car, encore une fois, tout est parfaitement en place et bien fait. On évite également les longueurs du précédent avec un album plus court (40min contre plus d'1H). Reste que malgré toutes les qualités (on ne revient pas sur le chant), il me manque toujours un je ne sais quoi pour dépasser le stade de "c'est classe" et être totalement absorbé dans l'histoire au lieu d'être spectateur.
J adore cet album de Messa mais effectivement comme c est souligné, il manque le truc en plus qui fait basculer l album dans la catégorie exceptionnelle.
Pour ma part ça reste 1 sacrée découverte.