@dark_omens, excellent c'est album de Misery Index.

Tiens pour la peine tu m'a donné envie d'écouter, allé un petit:

- Misery Index " Traitors "

 
Sepultura "arise"
 
Révision avant mon "beneath the remains", entre celui là et "under a pale grey sky" je suis revenu à ma période Sepultura, et ça fait du bien, par contre j'arrive pas à être zen au volant avec ça dans les oreilles, "arise", "desperate cry", dead embryonic cells", "infected voice"... mes pauvres cervicales...

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"J'ai toujours préféré Bon Scott a Bryan..."

Albert Einstein

Sauf que c'est du thrash

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La franchise ne consiste pas à dire ce que l'on pense , mais à penser tout ce que l'on dit .

Broaaaah il y a quand même de fortes influences death... Enfin je crois...

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"J'ai toujours préféré Bon Scott a Bryan..."

Albert Einstein

Beaucoup plus sur les premiers (Morbid Vision et Bestial Devastation ) , par la suite c'est du thrash tinté de death , mais on peut plus dire que le death y est dominant .

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La franchise ne consiste pas à dire ce que l'on pense , mais à penser tout ce que l'on dit .

Baaa j'ai longtemps hésité entre les deux, me suis planté...
Bon je "débute" en extrème alors j'ai une excuse!

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"J'ai toujours préféré Bon Scott a Bryan..."

Albert Einstein

On ne peut pas dire ça, c'est plutôt le contraire : c'est Sepultura qui a influencé le Death Metal sur Morbid Visions.

Par contre Arise n'a pas grand chose de Death pour moi.

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je n'ai pas de signature et je vous emmerde.

Ba en fait je me basais sur la rapidité, la violence et la voix sur l'album pour justifié qu'il se rapprochais du death.
En fait je pensais plus que des albums du style "reign in blood" ou "pleasure to kill" avait influencé le death, d'ailleurs ce dernier je l'aurais plus calé dans le death si l'on m'aurait demandé sans connaitre le groupe.
 
Morbid visions je ne l'ai pas écouté.

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"J'ai toujours préféré Bon Scott a Bryan..."

Albert Einstein

Morbid Vision et Bestial Devastation ,ca m'étonnerais que ca te plaise.

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La franchise ne consiste pas à dire ce que l'on pense , mais à penser tout ce que l'on dit .

 
Encore et encore tout à l'heure.
 
Et maintenant :
 
Nader Sadek : In the Flesh
 

 
Une grosse (mais trop courte) claque !

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