gniark
- pour nous ceux qui vivaient autrement ils étaient fêlés.tout ces ptis saints qui se tapaient un boulot de merde pour un salaire de clodos, qui se farcicaient le métro tous les jours pour aller bosser et qui s'anguoissaient pour leur fin de mois c'était des zéros, des poires, ils avaient rien dans l'froc.Si on voulait queque chose on se servaient. Si quequ'un se plaigant il morflait tellement que croyez moi ça lui passait l'envie de recommencer.