"Eh ben, moi, c’qui m’les casse, c’est les faux affranchis ! Les pétroleurs syndiqués, les anars inscrits à la sécurité sociale ! Ça refait la Chine, ça prend la Bastille et ça s’prostitue dans des boulots d’esclave ! Ah, y sont beaux, les réformateurs du monde !… Le statisticien qui baguenaude un placard d’usurier, le Chinetoque qui propage les danses tropicales et l’mange-merde qui prône la gastronomie ! Ah, il est mimi, l’triumvirat !… Un beau sujet d’pendule !… Allez, viens, ma belle ! Qu’on foute le camp, qu’on voie p’us ces affreux !…"
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