peut-être mais voilà je suis pas d'humeur à lire et répondre à des débats sans issue. Alors sans doute reparlerons nous sérieusement un autre soir. Le but c'est de "partager" de la litté, je suis pas expert mais j'aime beaucoup et là ça me file le bourdon toutes ces bêtises.

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savoir qui l'on est, signifie savoir où l'on est.

Eh bien mon brave ! Vous avez dit exactement ce que je voulais que vous me disiez. Peut-être suis-je trop susceptible, je l'admets, mais enfin, j'ose espérer que là-dedans, chacun se reconnaîtra une part de mauvaise foi (puisque l'on parle de l'existentialisme...). Et, là-dessus, je pensais bien que c'était vous qui étiez entièrement de mauvaise foi, et non pas moi. Mais, si vous expliquez les choses sous cet angle... il fallait le dire plus tôt, en ce cas ! Quoique... Mon argumentation n'était certes absolument pas constructive, mais, je pourrais bien vous citer des exemples de post - et pas que sur ce topic - où vous affirmez sans argumenter par la suite !
Je suis tout à fait d'accord avec vous concernant le fait que l'on ne peut pas sans cesse placer l'artiste au-dessus du jugement public. De même, j'ai étudié l'existentialisme et la critique qu'a faite Sartre de Baudelaire. Il y a du bon, et du mauvais, le tout étant de bien savoir nuancer, chose que je sais souvent très bien faire dans les débats. Mais ici, tout cela appelle, hélas, des arguments bien trop "subjectifs" pour que je puisse les exposer ici. Le jugement selon l'existentialisme de Baudelaire, ce qui m'anènerait sûrement à parler des "Poëtes maudits" en général..., si je débattais de tout cela, je ne pourrais le faire que sous un angle purement subjectif, rattaché à mon vécu (et que vive la discrétion !). Certes, il y a bien des sujets où je peux facilement prendre du recul mais, pas sur celui-ci, vous l'avez remarqué (jugez-en par mon premier emportement sur la question).
Et, notez ici que je ne fais preuve d'aucune mauvaise foi. Je sais m'avouer vaincue lorsqu'il le faut. Je le fais ici même. Je propose donc que nous en restions ici.

@ VastAire : exact, une argumentation aboutit rarement à une "convertion" totale de la part de l'une ou de l'autre partie. Et d'ailleurs, si personne ne débattait, c'est que tout le monde serait d'accord dès le départ. C'est pour cela que, bien souvent, je me demande à quoi il sert de discuter avec quelqu'un...

C'est ce qui s'appelle faire amande honorable...
Eh bien ! Souffrez que je vous sois, Mademoiselle, reconaissant.
(Ah....les belles manières ! C'est un délice ! On peut se sortir de tous les bourbiers avec un tant soit peu de savoir-vivre ! )
 
Soit ! Gardons l'ami Baudelaire pour les soirs de pluie...

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Au gibet noir, manchot aimable,
Dansent, dansent les paladins,
Les maigres paladins du diable,
Les squelettes de Saladins.

Le Bal des Pendus. Rimbaud

Comme c'est mi-mi les réconciliations.   Mes demoiselles vous excuserez cet élan de mauvaise humeur mais parfois c'est usant ces petites batailles...

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savoir qui l'on est, signifie savoir où l'on est.

Je crois que Disarmonia est un homme. Son profil et les epithetes qu'il utilise semblent aller dans ce sens.

oups je n'ai pas regardé en fait   donc acte, "monsieur et mademoiselle" ;-) je suis pas assez attentif aujourd'hui.  

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savoir qui l'on est, signifie savoir où l'on est.

Eh bien ! Je n'ajouterai rien d'autre à cela, mon cher !
Puisque je suis tout à fait d'accord avec vous ! Et, comme j'abhorre les conflits inutiles, je suis toujours la première à les désamorcer en ayant recours aux "belles manières", comme vous le dites si bien.

@ Mkhell6 : oh ! le sentimental humaniste  !
Certes Monsieur, cela est une qualité mais, la prochaine fois, n'oubliez point d'aller regarder les profils pour ne plus faire d'odieuse méprise quant au genre des membres !

ahh je reconnaîs ma faute moi aussi ^^
J'aime pas regarder les profils, j'ai du pas en voir bcp,je me rappelle du votre parce que la phrase est marrante  ;-)

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savoir qui l'on est, signifie savoir où l'on est.

Pour rire un peu plus de la litterature en en lisant de la tres bonne, je ne peux que vous recommander la lecture de David Lodge. Bien que prof de litt, il sait a merveille decrire avec ironie et sarcasme ces memes milieux litteraires et academiques.

Une vraie perle qui nous vient d'Angleterre.

J'aime également beaucoup la littérature qui se fout de la littérature.
Je suis sûre de me marrer à chaque fois.
Je ne connaissais pas cette référence-ci, je la note !
Merci !