TESS : Que S'élève la Poussière

Teksty

1. REJOINT L'EMEUTE

J'ai vu se remplir les rues
De la plus belle des rages
Libres, dignes
De piller les buildings
Mais tu t'attendais à quoi?
Tu t'attendais à quoi?
Ceux qui viennent d'en bas
Vivent le même combat
Toujours devants
Souvent déçus
Usés, affamés
Non plus rien ne nous effraie
Putain mais dis moi
Tu t'attendais à quoi?

Écoute moi
Écoute moi, ce sera bien pire
Quand plus rien ni personne
Ne pourra nous contenir

J'ai vu tomber l'autorité
(Rejoins l'émeute)
Ceux qui avancent dans l'obscurité
(Sont enfin prêts)
Je les ai vus franchir la ligne
(Rejoins l'émeute)
La foule électrique exulte

Dans nos veines la furie
Pour que s'embrase la nuit
Je refuse, refuse
Mais tu t'attendais à quoi?
Tu t'attendais à quoi?
Qu'une armée entière
Allait se laisser faire?
Plus rien ni personne
Ne pourra nous contenir
Dans nos veines, dans nos veines
Se propage la furie

J'ai vu tomber l'autorité
(Rejoins l'émeute)
Ceux qui avancent dans l'obscurité
(Sont enfin prêts)
Je les ai vus franchir la ligne
(Rejoins l'émeute)
La foule électrique exulte

(Rejoins l'émeute)
(Rejoins l'émeute)

Saute plus fort sur les pavés
Allez saute
Saute plus fort
Viens faire trembler les enfers

(Viens faire trembler les enfers)
(Viens faire trembler les enfers)

J'ai vu tomber l'autorité
(Rejoins l'émeute)
Ceux qui avancent dans l'obscurité
(Sont enfin prêts)
Je les ai vus franchir la ligne
(Rejoins l'émeute)
La foule électrique exulte

(Rejoins l'émeute)
(Rejoins l'émeute)

Rejoins l'émeute


2. MON SOURIRE AU CUTTER

Va dire à t'es potes qu'ils sont déjà mort
C'est l'heure de commencer l'effort
Va dire à t'es potes qu'ils sont déjà mort
Mort, jusqu'au dernier, jusqu'au dernier
Va dire à t'es potes qu'ils sont condamné
D'y croire encore, jusqu'au dernier
Va dire à t'es potes qu'ils sont déjà mort
Mort, jusqu'au dernier,

Les yeux en feu, écoute grandir le cercle
Derrière les grilles, que s'élève la poussière
Fais un festin de nos divine carcasse,
Moi j'irais donné les restes à bouffer aux blattes,
Donné les restes à bouffer aux blattes.
À bouffer aux blattes
Aux Blattes

Va dire à t'es potes qu'ils sont déjà mort
C'est l'heure de commencer l'effort
Va dire à t'es potes qu'ils sont déjà mort
Mort, jusqu'au dernier,
Va dire à t'es potes qu'ils sont condamné
D'y croire encore, jusqu'au dernier
Va dire à t'es potes qu'ils sont déjà mort
Mort, jusqu'au dernier

Cette colère, cette colère
Cette colère là n'attends pas
Ouvre l'œil, ouvre l'œil
Jusqu'au cercueil, j'ai fait le premier pat
Coupable de croire dur comme fer
Que l'on créé ce que l'ont craint
Oui je plaide coupable
D'espérer que le sol nous avale
Que soudain les eaux sombre viennent a monter.
Ici, que justice soit faite puisque que nous sommes coupable de nous sentir putain de libres.
Coupable de nous sentir putain de libres.
Libre.

Une lame de rasoir cachée dans la mâchoire
Les remords au mitard
Je me tiens prêt
Sans jamais savoir de quel coté du parloir,
On se fait le plus enculer
Je ne crois plus en tes effort bâcles

Coupable de ne pas avoir encore tout brûles
Coupable de ne pas avoir assez joué
avec des des visages et des poignards

Oh frère, un vide colossal maintenant nous sépare je t’ai déjà oublié,
Pour me noyer en plein bonheur,
J’ai peins mon sourire au cutter.


3. GIBIER CELESTE

Hé !
Tu veux vraiment savoir ce qui me rend mauvais ?
Tu veux vraiment savoir pourquoi j'en ai assez ?
C'est ainsi que commence la traque
C'est ainsi que commence la traque

Marre de longer les murs, de ne voir que l'obscure
Grandir dans nos crânes insalubres
Traqué, je suis l'œil qui sue
Traqué, je vise et spécule
Traqué comme du gibier que l'on abat sans ramasser
Bouffé, bouffé par des hyènes qui n'attendent pas
Bouffé, la dernière prière du dernier combat

Je ne suivrai pas, je ne suivrai pas
La direction des flèches, l'inclinaison des croix
Plus rien n'a d'emprise
Tu perds ton temps
Les symboles s'enlisent aussi vite que l'or sombre
Aussi vite que l'or sombre et s'épuise

Assez d'être la cible et non la flèche
Assez de voir se détruire l'invendu
Assez que de nos sens s'efface le toucher
quand la rétine sur les écrans reste braquée
Braquée, braquée

À celui qui préfère financer
la balle de fusil à l'eau du puits

C'est régner pour mieux diviser
C'est régner pour mieux diviser
L'idée n'est plus d'informer
La mescaline de la révolte ne fait plus effet
La mescaline de la révolte m'a fait croire

Je ne suivrai pas, je ne suivrai pas
La direction des flèches, l'inclinaison des croix
Plus rien n'a d'emprise
Tu perds ton temps
Les symboles s'enlisent aussi vite que l'or sombre
Aussi vite que l'or sombre et s'épuise

Tu veux vraiment savoir pourquoi nous sommes si cons ?
Tu veux vraiment savoir pourquoi nous sommes si cons ?
Pose toi les bonnes questions.


4. SOUS LA GRÊLE ET LES BOMBES

On sait tous ici que t'as rien dans le bide !
Sale bâtard !

On sait tous ici que t'as rien dans le bide !
Fait tes armes, lève la voix
Puisque la peur n’est qu’un choix

J’ordonne la discorde
J’ordonne la discorde

Toujours debout pour broyer leur monde
Gueuler jusqu’au sang sous la grêle et les bombes
Coups de hache, coups de schlass dans le trachée
Dans la trachée fait taire le silence,
Taire le silence,

Toujours debout pour broyer leur monde
Gueuler jusqu’au sang sous la grêle et les bombes
Coups de hache, coups de schlass dans le trachée
Coups de hache, coups de schlass

Partage, tant qu’il reste la paroles,
Les tripes et la confiance

J’ordonne, j’ordonne l’arrogance bien rangée
De fracasser la soumission
J’ordonne le chaos.

Toujours debout pour broyer leur monde
Gueuler jusqu’au sang sous la grêle et les bombes
Coups de hache, coups de schlass dans le trachée
Dans la trachée fait taire le silence,
Taire le silence,

Toujours debout pour broyer leur monde
Gueuler jusqu’au sang sous la grêle et les bombes
Coups de hache, coups de schlass dans le trachée
Coups de hache, coups de schlass

Le diable cogne,
Aucune barricades ne résiste

Entre la chatte et la tombe,
Trouver la raison,
Qui retient nos esprits en dessous
En dessous des décombres

Gueule et fonce, sache la peur n’est qu’un choix
Et même seul, seul contre tous,
Seul contre tous bat-toi, bat-toi
Relève toi, putain mais fonce dans le tas
Relève toi, gueule et fonce,
Fonce dans le tas

Le diable cogne
Aucune barricades ne résiste
Le diable cogne
Ordonne le chaos
Le diable cogne
Ordonne le chaos

Toujours debout pour broyer leur monde
Gueuler jusqu’au sang sous la grêle et les bombes
Coups de hache, coups de schlass dans le trachée
Dans la trachée fait taire le silence,
Taire le silence,

Toujours debout pour broyer leur monde
Gueuler jusqu’au sang sous la grêle et les bombes
Coups de hache, coups de schlass dans le trachée
Coups de hache, coups de schlass

Fonce dans le tas.


5. OTAGE

Otage, otage
Je vis à la merci des aiguilles
De l'écume du temps
Otage, otage
Rouillent les os calcifiés
Qui avant savaient me porter
Otage, je vis à la merci des aiguilles
S'arracher la mémoire jusqu'au cœur
Pour ne plus savoir d'où vient la peur
Encadrer le passé pour se prouver
Qu'un jour on a cru vivre
Mes rides comme des trophées
La preuve qu'un jour j'ai existé
Mes rides comme des trophées
La preuve qu'un jour
J'étais l'enfant qui croyait, qui croyait
Puis qui s'est fâché avec le temps
J'étais l'enfant qui croyait, qui croyait
Puis qui s'est fâché avec le temps
Pour s'évader
Quand j'aurai dévoré jusqu'au moignon
La main fertile qui m'a nourri
Le bras froid, je ne me réveillerai pas
J'aurai suivi la horde
Mes rides comme des trophées
La preuve qu'un jour j'ai existé
Mes rides comme des trophées
La preuve qu'un jour
J'étais otage
Otage, otage
Le future comme seule fortune
Je suis l'otage du temps
La preuve qu'un jour
J'étais l'enfant qui croyait, qui croyait
Puis qui s'est fâché avec le temps
J'étais l'enfant qui croyait, qui croyait
Puis qui s'est fâché avec le temps
Pour s'évader
Aaaah s'évader
Aaaah s'effacer
J'étais l'enfant…
Qui croyait, qui croyait
Puis qui s'est fâché avec le temps
J'étais l'enfant qui croyait, qui croyait
Puis qui s'est fâché avec le temps
Avec le temps.


6. THE BALLAD OF STORMY CHUGGY CHUGSMITH

Sitting in my chair by the bar
I was singing a song about who we are
In quiet town
In quiet town

Flirting with Jane,
Staring at her breasts
Another good day in the West
In quiet town
In quiet town

All of the folks
Were spreading happiness
Until a gun shot brought down
The darkness
It brought down the darkness
In quiet town
Of Saint Charleston

Hey folk, dawn, I’ve got someting I wanna tell you. I went to see inside, as an act of bravery. And could not believe my eyes, it was Stormy. Never know I’d see the most famous bandit. She just shot the one we call the misfit. And then, she chupped all the bottle of our best whiskey.


7. STUPIDE FIÈVRE

Remplis mon verre
D’une stupide fièvre
Ça commence toujours pareil
Ça commence toujours pareil

Remplis mon verre d’une stupide fièvre
J’oublierais tout à mon réveil
Ça finit toujours pareil
Ça finit toujours pareil

Ma soif, jamais ne cesse
Je goûte à la fureurs de la bouteille
Je me crash et m’endette
Je me vautre et me blesse
Je me vautre et me blesse

Les créatures de l’intérieur
Me rongent et m’écœurent
Le mercure grimpe,
Je pressent la sueur
Je les noies puis mon foie s’oxyde
Je connais les excès par cœur
L es excès par cœur.

Bois, bois, bois
La violence de la bouteille
Bois, bois, bois
Je ne te laisserai pas le choix

Distiller la déception
Pour en extraire ses raisons
Et puis tout foutre en l’air

Remplis mon verre
D’une stupide fièvre
Ça commence toujours pareil
Ça commence toujours pareil

Remplis mon verre d’une stupide fièvre
J’oublierais tout à mon réveil
Ça finit toujours pareil
Ça finit toujours pareil

Tu sais ma soif jamais ne cesse
Alors je m’éclate jusqu’à l’ivresse
Jusqu’à l’ivresse, et si j’en laisse
Faites des Molotov avec les restes

Remplis mon verre, remplis mon verre,
Ça commence toujours pareil
Remplis mon verre, d’une stupide fièvre
Remplis mon verre, remplis mon verre,
Ça commence toujours pareil
J’oublierais tout à mon réveil
Remplis mon verre, d’une stupide fièvre
Ça m’arrache la gueule,
Comme une patate de forain


8. 1793

Résiste

Regarde passer l’ennemi
Il n’est pas le corps mais l’esprit
Les victimes changent de camp
En faveur des vraies richesses
La guillotine à trancher
Les vraies bourreaux d’un seul geste
Sont démasqués
Le visage blême
Une jambe à terre ils supplient

Regarde passer l’ennemi
Regarde passer l’ennemi

J’ai griffé le ciel
Je m’éveille
Sous un nouveau soleil
J’ai griffé le ciel
Pour que passe la lumière
Je m’éveille
Sous un nouveau soleil
J’ai griffé le ciel
Alors prend la relève

De la fourche, de la couronne
De l’échafaud, nous n’avons rien appris
Mais cette fois les fous en haut des tours
Pour voir les rois au labour

Regarde changer l’ennemi
Regarde changer l’ennemi
Il n’est pas le corps mais l’esprit

Ne me blâme pas
Ne me blâme pas

J’ai griffé le ciel
Je m’éveille
Sous un nouveau soleil
J’ai griffé le ciel
Pour que passe la lumière
Je m’éveille
Sous un nouveau soleil
J’ai griffé le ciel
Alors prend la relève

Résister, résister
Résister jusqu’à l’aurore

Je m’éveille
Sous un nouveau soleil
J’ai griffé le ciel
Pour que passe la lumière
Je m’éveille
Sous un nouveau soleil.


9. SOUPE DE PLASTIQUE

Tout finira
Tout finira
Tout finira

Tout finira saccagé, asséché, décimé, l'horizon.
De l'écorce à l'asphalte. De la sève au béton
Apprécie le cauchemar
Nos possessions nous possèdent alors s'amasse la poussière
Et quand nos ailes s'encrassent l'esprit jamais ne s'élève
Sur mon thorax un bréchet pour me défaire de la gravité

Brique par brique, construire sans cesse les mêmes erreurs
Brique par brique sans cesse, nous mettre en cage
Brique par brique, construire sans cesse les mêmes erreurs
Écrire l'histoire dans la douleur

Ce soir, encore une fois, tout finira par partir en éclat
Dans le plastique et l'acide, le plastique et l'acide
Ce soir, encore une fois, tout finira par partir en éclat
Dans le plastique et l'acide, le plastique et l'acide

De l'écorce à l'asphalte. De la sève au béton
De l'écorce à l'asphalte. De la sève au béton
Tasser la beauté sur la grille d'une pipe à crac
La voir se consumer et puis lui foutre la tête au fond d'un sac
Précieuse comme la dernière goutte dans la flasque du clochard
Soutiens le regard et apprécie le cauchemar pour ce qu'il est

Déchet après déchet, débris après débris
Au large des océans pourris
La glace devient plastique, l'air devient acide

Que s'éteignent les espèces dans le plastique et l'acide
Que s'achève la beauté dans le plastique et l'acide
Que se fige la nature dans le plastique et l'acide
Que se braque la faune dans le plastique et l'acide

Ce soir, encore une fois, tout finira par partir en éclat
Dans le plastique et l'acide, le plastique et l'acide
Ce soir, encore une fois, tout finira par partir en éclat
Dans le plastique et l'acide, le plastique et l'acide

Tasser la beauté sur la grille d'une pipe à crac
La voir se consumer et puis lui foutre la tête au fond d'un sac
Précieuse comme la dernière goutte dans la flasque du clochard
Tout finira, ce soir,
Tout finira, tout finira


10. VINZ

Soit fort, soit grand
Lève le tête et serre les dents
Répète toi si la chute est lente
C’est qu’il reste encore du temps

Soit fort, soit grand
Lève le tête et serre les dents
Répète toi si la chute est lente
C’est qu’il reste encore du temps

Soit fort, soit grand
Lève le tête et serre les dents
Répète toi si la chute est lente
C’est qu’il reste encore du temps

Soit fort, soit grand
Lève le tête et serre les dents
Répète toi si la chute est lente
C’est qu’il reste encore du temps

Soit fort, soit grand
Lève le tête et serre les dents
Ne tolère plus l’espoir
Il insulte l’instant
Tiens.

Soulève toi
Face à ma descente de coude
A la foudre de ma batte
Assume et progresse
Vois, vite, vie
Apprend et progresse
Assume et progresse
Vois, vite, vie
Apprend et progresse

Face à ma descente de coude
A la foudre de ma batte

Soit fort
Jusqu’à la mort
Soit grand
Dans la fange et la crasse
Lève la tête
Quand la défaite est tenace
Serre les dents
Ici et maintenant

A force de violence
On ne sait plus où taper du point
A force de concept
Tout le monde ce perd
Tout le monde ce déteste

Dans la nuit, la fange
Le blizzard et l’étrange
Je serre les dents
Je ne sens plus rien
Ni les coups, ni le sang
Ni les coups, ni le sang

Soit fort, soit grand
Ne tolère plus l’espoir
Il insulte l’instant
Explore, explore
Ta force de frappe.
Ta force de frappe


11. LE SCORE DE GLASGOW

J’ai entassé des corps à la cave
J’ai pissé du kérosène
A la gueule de mes cadavres
Puis j’ai craqué l’allumette
Pour cramer les fantôme
Car il n’est pas de rose
Qui un jour ne fane

Oh, j’ai craqué l’allumette
Putain mais change cette merde
Tout brûle, tout brûle, tout brûle
Viens dégueuler jusqu’à la dernière terreur
Crache toute la haine
Crache
Dans les rue, sur les murs
Du schéma soit la gangrène

Apprivoise la lumière
Apprivoise la lumière
Du nerfs, plus fort
Désobéir dans le sang, le bruit et l’ether
Rejette sans pitié,
L’ illogisme qui a façonner l’enfer

Apprivoise la lumière
Désobéir dans le sang, le bruit et l’ether
Apprivoise la lumière

Sors les crocs, sors les crocs
Comme un camion fou sous crystal meth
Sors les crocs, sors les crocs
Nous ne somme que le vent, toi, soit la tempête

Respire, les cendres de l’empire
Et scande ces mots :
Plus rien n’existe
Déchire, les couleurs de l’empire
Et scande ces mots :
Plus rien n’existe

Se désosser devant l’empire
Et ne servir qu’à ramper
A ramper tête basse
Jusqu’à l’ombre de sa propre tombe
A ramper tête basse
Jusqu’à l’ombre de sa propre tombe

Fixe l’univers,
Sens pousser ta colère
De nos silences amer,
Ils ont façonner l’enfer
De nos passions primaires
Ils ont chiffrés pour nous taire
Fixe, fixe l’univers,
Refuse de façonner l’enfer.

Respire, les cendres de l’empire
Et scande ces mots :
Plus rien n’existe
Déchire, les couleurs de l’empire
Et scande ces mots :
Plus rien n’existe

Sors les crocs,
Comme un camion fou sous crystal meth
Sors les crocs,
Nous ne somme que le vent, toi, soit la tempête
Sors les crocs,
Aiguiser par l’envie d’avancer jusqu’à rayer le pavé
Sors les crocs, sors les crocs
Voir le bout du tunnel comme un cadavre qui louche
Et traverser sa vie sur une civière
Mais s’il reste de la force
Débrancher les machines
S’injecter un bonne dose de kétamine
Puis se vautrer tranquillement
Sans regret, pour regarder partir
Ce qui n’a jamais fonctionné
Jamais

Fixe l’univers,
Sens pousser ta colère
De nos silences amer,
Ils ont façonner l’enfer
De nos passions primaires
Ils ont chiffrés pour nous taire
Fixe l’univers,
Refuse de façonner l’enfer.

Sors les crocs, Sors les crocs,
Sors les crocs, Sors les crocs,
Sors les crocs,

J’ai entassé des corps à la cave
J’ai pissé du kérosène
A la gueule de mes cadavres
Puis j’ai craqué l’allumette
Pour cramer les fantôme
Car il n’est pas de rose
Qui un jour ne fane

Fixe l’univers,
Sens pousser ta colère
De nos silences amer,
Ils ont façonner l’enfer
Fixe

teksty dodane przez Bonjour - Edytuj teksty