LIK...ID : Elevé à la Peur

Nu Metal / France
(2007 - MVS Records)
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Las palabras


1. VRAI

Les yeux à terre
Voulez-vous caresser le prix
De mon Atmosphère
Inondé par votre sourire
Lorsque je tombe
Personne n'est prêt à assumer
L'enfant immonde
Dont vous n'avez jamais rêver
J'ai beau regarder en arrière
Vos dons de soit sont si amères
Teintés de gestes incontrôlés
Si j'avais pu resté
VRAI
Rempli de haine et de mépris
VRAI
Toujours plus proche de l'ironie
VRAI
Rempli de haine et de mépris
Toujours plus proche de l'ironie
Ce qui vous touche
Vous est fourni conditionné
Comme la cartouche
Qui servira à m'apaiser
J'ai beau regarder en arrière
Vos dons de soit sont si amères
Teintés de gestes incontrôlés
Si j'avais pu resté
VRAI
Rempli de haine et de mépris
VRAI
Toujours plus proche de l'ironie
VRAI
Rempli de haine et de mépris
Toujours plus proche de l'ironie
Je sens mes veines se fissurer et je pris
Pour qu'elles tiennent et pouvoir rester en vie
Je sens mes veines se fissurer et je pris
Pour qu'elles tiennent et pouvoir rester en vie
VIE
VIE
VIE
Rester en vie (x4)
Alors que moi je voudrais rester
VRAI
Rempli de haine et de mépris
VRAI
Toujours plus proche de l'ironie
VRAI
Rempli de haine et de mépris
VRAI


2. IMPERTINENCE

Au milieu d'impertinences
Quelles réponses dois-je extraire
De cette masse intelligente
Qui s'agite dans l'hémisphère
Un beau voile sur l'existence
Un peu plus de commentaires
Le juste est si insistant
Qu'on fini même par s'y promettre
Un droit de vie
Pour s'y plaire
Dans la dérive et l'allégresse
Se plaire
Dans l'euphorie de nos prouesses
Se plaire
Dans notre voie vers la richesse
Se plaire
Ne m'entendez pas, non, ne m'entendez pas
J'aime ça
Restez appuyer sur moi
Je garde mon règne
Pour moi
Le fruit cancérigène
Le fils né de la gêne
De vos promesse
Un simple oubli
Un écart qui m'oppresse
Devant l'insoumis
J'ai appris à m'y plaire
Dans la dérive et l'allégresse
Se plaire
Dans l'euphorie de nos prouesses
Se plaire
Dans notre voie vers la richesse
Se plaire
Au milieu d'impertinences
Quelles réponses dois-je extraire
De cette masse intelligente
Qui s'agite dans l'hémisphère
Un peu plus de commentaires
Le juste est si insistant
Pour une simple et éphémère fierté de soi
Pour une si grande et précaire clarté de choix
Alors baisez-moi oui baisez-moi aller
Baisez-moi oui baisez-moi
J'aime ça
J'aime ça
Je prendrai mon temps
Pour m'y plaire
Dans la dérive et l'allégresse
Se plaire
Dans l'euphorie de nos prouesses
Se plaire
Dans notre voie vers la richesse
Se plaire


3. ET LE RESTE SUIVRA...

On a tous les pieds agrippés au même sol, au même monde,
On s'est déjà suffisamment fait chier, à le noircir, le rendre sombre,
Des camps se dressent, s'agressent, et l'unique façon d'y mettre un terme,
C'est que l'on s'empresse,
D'éviter de croiser le fond,
Si la forme reste une ambition,
Quand nos dieux s'affrontent pour le bon,
Et se dire qu'ils ont sûrement raison,
Et le reste suivra...
Souriez, acclamez, souriez...
Passe la nuit et ses prophètes, et son lot d'illusions,
Toutes ses paroles que l'on achète, sans la moindre attention,
Des cris se dressent, agressent, dans un jeu de sanction,
Si bien offertes que l'on se ressert en guise de démission,
A se partager sans se rassurer,
Sans se rassasier du mal que l'on se fait !
Sans jamais être dénoncé !
Du mal que l'on se fait !
Sans jamais s'être donné, une chance
D'éviter de croiser le fond,
Si la forme reste une ambition,
Quand nos dieux s'affrontent pour le bon,
Et se dire qu'ils ont sûrement raison,
D'éviter de croiser le fond,
Si la forme reste une ambition,
Quand nos dieux s'affrontent pour le bon,
Et se dire qu'ils ont sûrement raison,
Et le reste suivra...
Et le reste suivra,
Et le reste, et on s'en contentera,
Et on s'en contentera,
Et on s'en contentera...
On a tous les pieds agrippés au même sol, au même monde,
On s'est déjà suffisamment fait chier, à le noircir, le rendre sombre,
A le noircir le rendre sombre


4. JUSQU'AU BOUT

D'une simple idée ménopausée jusqu'au bout des doigts
Elle retire
De la sueur inondée par le moindre effroi
Qui l'emmène
Jusqu'au bout de la pente
Jusqu'au bout de l'attente
Et c'est encore les mêmes
Qui la retienne
C'est encore les mêmes
Qui la plaignent
Et c'est encore les mêmes
Qui la retienne
C'est encore les mêmes
Qui la plaignent
A savoir moi
De si grands à priori porteurs de répits
Qu'elle cache qu'elle enfoui pour ne pas voir sa vie
Se finir
Et c'est encore les mêmes
Qui la retienne
C'est encore les mêmes
Qui la plaignent
Et c'est encore les mêmes
Qui la retienne
C'est encore les mêmes
Qui la plaignent
A savoir moi
A trop vouloir en faire
Pour que ça dégénère
A trop vouloir se taire
On en a, oublié, oublié
De donner à son air
Une pureté exemplaire
Une surface moins près du sol
Pour que l'évidence, lui implose à la gueule
Et c'est encore les mêmes
Qui la retienne
C'est encore les mêmes
Qui la plaignent
Et c'est encore les mêmes
Qui la retienne
C'est encore les mêmes
Qui la plaignent
A savoir moi ?


5. JE ME SENS BIEN

Je me sens bien
J'ai envi de recracher
Toute la violence
Dont tu m'as nourri
Pour rien
Envi de m'écraser
Ou mieux, me retenir les bras
Arrêter de gémir en vain
Mais putain, qu'est ce qu'on va faire
On devrait s'envoyer en l'air
Mais putain, qu'est ce qu'on va faire
On devrait s'envoyer en l'air
En l'air... (x3)
Je me sens si bien... (x5)


6. LA BLANCHE

La rature si nette et franche
D'une facette à sa vie
Une dose de bien être une chance
Pour avoir du bien, de l'éclaircie
Du bien, de l'éclaircie
Comme cette putain de rengaine
Extrait de mort dans la moindre veine
D'une pourriture latente
Qui dès l'injection
Le projette dans l'attente
Ordinaire, d'un homme déjà à terre
Si mal
Qu'il se libère
D'un drame
D'une vie passagère
Si lâche
Qu'elle l'enferme
Dans l'extase
D'un homme qui se perd
Dans la blanche et la détresse
Dans l'essence de nos promesse
Il commence à entrevoir
Des milliers de mains qui le poussent à se croire
L'ordinaire d'un homme déjà à terre
Si mal
Qu'il se libère
D'un drame
D'une vie passagère
Si lâche
Qu'elle l'enferme
Dans l'extase
D'un homme qui se perd
Crache, crache oui crache
Tout ira mieux maintenant
Crache, crache oui crache
Tout ira en s'arrangeant
Ne t'attarde pas, ne t'attarde pas
J'ai déjà pris de l'avance
Il ne s'en cache pas, ne s'en cache pas
Il a déjà vu sa chance
Si mal
Qu'il se libère
D'un drame
D'une vie passagère
Si lâche
Qu'elle l'enferme
Dans l'extase
D'un homme qui se perd


7. PRENDRE UN TEMPS

Je suis l'ennui, l'imposé
Je contemple mes vérités
Suffisant je l'ai toujours été
De mon espace je me contenterai
Je crois à un monde
Qui vit sur mes dires
Où les gens s'emmerdent
A me voir réagir
Un jour j'avance
Pour mieux te doubler
Un vide après
Je suis dépassé
Mais si fier
Et je prends un temps pour m'y appuyer
Un élan de plus à trouver
Je perds mon temps pour m'y arrêter
Et voir la foule s'engouffrer
Je crois à l'immonde
Qui gît sur mes dires
Où les gens s'empressent
De me voir défaillir
Un jour j'avance
Pour mieux me montrer
Un vide après
Je suis dépassé
Dépassé
Dépassé
Dépassé
Mais si fier
Je prends un temps pour m'y appuyer
Un élan de plus à trouver
Je perds mon temps pour m'y arrêter
Et voir la foule...
Prendre un temps pour s'y appuyer
Un élan de plus à trouver
Elle perd son temps pour s'y arrêter
Et voir mes doutes s'engouffrer


8. PRÉFACE

(Instrumentale)


9. PEUR

Né d'un regret
D'un jeu irréfléchi
Cet homme accompli
Un simple méfait
Il sait ce qu'il a à faire
D'une pensée bien primaire
Insipide, noire et fébrile
D'un droit à l'envers
Et contre tous
A l'envers
Et contre tous
Élevé à la peur
Là où la vie salit les mœurs
Quoi qu'il se passe
Quoi qu'il lui fasse
Il sourira lui qui est
Immolé à l'horreur
Là où l'ennui salit les mœurs
Quoi qu'il se passe
Quoi qu'il lui fasse
Il sourira
Il sourira
Il obéit
Sans juger le prix
Sans jamais se dire
Qu'il a atteint le pire
Il n'a jamais eut à faire
Que d'une vengeance une simple guerre
Inaudible, noire et fébrile
D'un droit à l'envers
Et contre tous
A l'envers
Et contre tous
Élevé à la peur
Là où la vie salit les mœurs
Quoi qu'il se passe
Quoi qu'il lui fasse
Il sourira lui qui est
Immolé à l'horreur
Là où l'ennui salit les mœurs
Quoi qu'il se passe
Quoi qu'il lui fasse
Il sourira
Il sourira
Et je vois
Un tas brûlant de consciences affamés
De sa dose journalières d'immoralités
Derrière l'image elle est canalisée
Au moins d'ici tout est sécurisé
Toujours autant de raisons pour le vivre
Combien de leçons pour le fuir
Quand le silence cache la réflexion
On atteint le summum je suis un con
De croire au jour au bout de chaque nuit
De dire que demain se sera l'ennui
Qu'on pourra me laisser faire
Encore un pas
Un pas en arrière
Avec un peu moins de maladresse
Pour que la peur ne devienne pas manifeste
Avec un peu moins de maladresse
Pour que la peur ne devienne pas ma faiblesse
Ma faiblesse
Élevé à la peur
Là où la vie salit les mœurs
Quoi qu'il se passe
Quoi qu'il lui fasse
Il sourira lui qui est
Immolé à l'horreur
Là où l'ennuie salit les mœurs
Quoi qu'il se passe
Quoi qu'il lui fasse
Il sourira
Il sourira


10. SUPPLICE DES NERFS

Mon crime
Vivre
Une erreur de plus à nourrir
Ma peine, s'emmêle, entre le fade et le blasphème
Je prends, je perds un équilibre si secondaire
J'en viens même à maudire
Ce qu'il me reste de plus chère
Aussi longue, longue, longue soit l'attente
Avant longue, longue, longue soit ma tourmente
Quand je veux voir mon ombre s'éclaircir
Quand je souris comme un con à l'avenir
Ça pourrait être pire
Ça devrait être mieux
Ça pourrait être pire
Ça devrait être mieux
Mais je ne vois pas comment
Fuir
Pourrir
Donner du temps, mieux réfléchir
Mais pourquoi faire
Des maux en l'air
Avec un peu de chance
Tout sera clair
On m'accuse
Je refuse
D'avoir un jour cru en un père
Une excuse qui ne peut plus
Contenir toute ma haine
Et il le sait
Aussi longue, longue, longue soit l'attente
Avant longue, longue, longue soit ma tourmente
Quand je veux voir mon ombre s'éclaircir
Quand je souris comme un con à l'avenir
Ça pourrait être pire
Ça devrait être mieux
Ça pourrait être pire
Ça devrait être mieux
Mais je ne vois pas comment
Supplice des nerfs
Sur le bord rien à faire
Mais au fond à qui ça doit plaire
Si le risque est grand
Mais si il est sincère
Même sous le sang
Personne ne me fera taire
Taire
Taire
Taire
Personne ne me fera taire
Taire
Taire
Personne ne me fera taire
Aussi longue, longue, longue soit l'attente
Avant longue, longue, longue soit ma tourmente
Quand je veux voir mon ombre s'éclaircir
Quand je souris comme un con à l'avenir
Ça pourrait être pire
Ça devrait être mieux
Ça pourrait être pire
Ça devrait être mieux
Mais je ne vois pas comment


11. IMMORAL

Je suis le père et l'outrance incarnée
Je suis l'essai de tes nuits délabrées
Tu es le fruit, le désir procrée
De mon incomparable excès d'autorité
Rien que d'y penser ça empêche de rêver
Rien que d'en parler ça nettoie du passé
Juste se lâcher pour le mot vérité
Et ne plus y songer sans devoir se figer
Dans un moment si proche
De moi, de toi, de moi, de toi
Dans un mélange si moche
De moi, de toi, de moi
Et personne d'autre
Je me promène lentement sur tes pleures
Excité d'une avance qui érige mon erreur
Je veux m'embraser, tu peux m'apprécier
Mais je marque en toi l'immoral à jamais
Rien que d'y penser ça empêche de rêver
Rien que d'en parler ça nettoie du passé
Juste se lâcher pour le mot vérité
Et ne plus y songer sans devoir se figer
Dans un moment si proche
De moi, de toi, de moi, de toi
Dans un mélange si moche
De moi, de toi, de moi
Et personne d'autre
Ici c'est mon royaume
Mon putain de dôme
Mon entrejambe
Mon apparence
Ici c'est mon royaume
Mon putain de dôme
Ma décadence
Sur ton existence
Dans un moment si proche
De moi, de toi, de moi, de toi
Dans un mélange si moche
De moi, de toi, de moi, de toi
Dans un moment si proche
De moi, de toi, de moi, de toi
Dans un mélange si moche
De moi, de toi, de moi
Et personne d'autre
Ici c'est mon royaume
Mon putain de dôme
Mon entrejambe
Mon apparence
Ici c'est mon royaume
Mon putain de dôme
Ma décadence
Sur ton existence


12. C'EST AINSI

Tant de masses sanguines
Acérées comme les épines
D'une ronce en terrain ennemie
Dans un Éden à moitié prix
On a écourté les plaintes
On a incendié les saintes
On a profité d'une nuit
Que le jour nous a repris
C'est ainsi que l'on vit
C'est ainsi que l'on vit
C'est ainsi que l'on vit
C'est ainsi que l'on vit
Un bonheur si articulé
Qu'il en devient inanimé
Pour des gens qui croit et qui se fuit
Dans les artères de l'agonie
On a écourté les plaintes
On a incendié les saintes
On a profité d'une nuit
Que le jour nous a repris
C'est ainsi que l'on vit
C'est ainsi que l'on vit
C'est ainsi que l'on vit
C'est ainsi que l'on vit


13. ÉPILOGUE

(Instrumentale)

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