Eluveitie + Guests @ Limoges

le Samedi 20 Décembre 2014, CCM John Lennon



Abhorrance (USA-1)

Le peu que l’on soit étourdi peut littéralement pourrir votre journée ou votre soirée. Le soir du 20 décembre se tenait au John Lennon de Limoges une soirée spéciale Noël avec en grande vedette le combo helvète « Eluveitie ». Ce n’était pas vraiment pour eux que je comptais me déplacer. Beaucoup doivent connaître ou ont dû connaître mes aversions à ce groupe, ayant juste un succès immérité à mon goût. Non, non ! Si je venais c’était surtout pour « Eklyps » dont je souhaitais assister aux progrès depuis la dernière fois où je les avais vu, « Celtibeerian » que je connaissais que trop peu, et pour « Stille Volk », qui fait parti de mes formations préférées en pure musique folklorique. Comme j’avais la tête en l’air, je suis parti bien en retard. En plus, cette route pourrie reliant Poitiers à Limoges demande au moins deux bonnes heures par y aller, à condition de ne pas suivre des camions ou des trainards. C’est souvent du deux voies, quelques fois du trois et les routes en lacets ne facilitent guère les dépassements.

Donc j’arrive avec plus de 30 minutes de retard en salle. Il a fallu en plus se garer tout en bas de la bute qui marque l’entrée au site. Je constate au parking bien rempli qu’il y a déjà plus de monde que pour « Morbid Angel », vacances et effet de mode oblige (j’y reviendrai). Dans mon manque d’organisation, je rate le spectacle d’« Eklyps », dont je n’ai même pas pu croiser ce soir-là. Je profite de ces mots pour saluer chaleureusement toute la formation originaire de ma ville de Poitiers, que j’ai eu l’honneur de rencontrer et de chroniquer les productions. Comble du comble en arrivant tout juste devant « Drakwald », je me rends compte que j’ai omis dans la foulée d’emmener une carte mémoire. Ce sera réglé après coup grâce à la gentillesse d’un spectateur qui avait accepté de m’en vendre une. Mais pour le moment je rageais intérieurement et je regardais la formation originaire de Tours pour la seconde fois de l’année.

Drakwald

C’est donc dans un état frustré que j’assiste à mon second concert des tourangeaux. La première fois que je les ai croisé, ce fût près de Poitiers, lors du Dark Vibes. Il y a tout au plus quelques mois. Il faisait chaud, même très chaud, à l’inverse du dehors, et ça se voyait sur les artistes. J’étais encore bien placé au milieu et tout en avant pour remarquer que la sueur goutait sur leur front bien avant la fin de leur représentation. Celle-ci avait reçu en franc succès de la part du public réuni à Limoges. Beaucoup découvraient tout juste « Drakwald » et ses membres. Pourtant, de mon côté, ça m’avait paru très à l’identique que lors de leur passage à Poitiers, avec leurs qualités et leurs défauts, mais je note que les spectateurs semblent avoir beaucoup apprécié, leur faisant même dire pour certains que ce fut le meilleur concert de la soirée. Il faut admettre que leur folk death est très performant et révèle ses pleines capacités sur scène. Leur musique s’illustre fine et bien équilibrée. On entend sans la moindre difficulté les différents intervenants. Il y avait néanmoins de la hâte sur la fin de la setlist. On sentait qu’ils étaient pressés de passer la dernière ligne droite. Je crois que la chaleur y est pour beaucoup. Il n’y avait encore rien de véritablement à reprocher de leur talent musical, si ce n’est comme l’autre fois un ensemble paraissant parfois un peu linéaire ou un peu trop statique dans la figuration. Il serait aussi opportun qu’ils se montrent plus communicatifs avec le public. Dans ce genre c’est primordial. D’ailleurs sur ce point, ils pourront s’inspirer du groupe qui les a succédé.

Set-List : 1. Intro / 2. Let the Slaughter Begins / 3. Diving in the Depth of Agony / 4. Escape the Claws of Fate / 5. When Beers Flowing’s / 6. Giant With the Axe / 7. Night of All Redemptions / 8. Raise Our Swords / 9. Inhale the Ashes of Honour / 10. Blood and Glory

Celtibeerian

Première rencontre avec ce groupe espagnol. Le folk hispanique est d’ailleurs suffisamment peu représenté pour qu’on s’y intéresse. J’avais auparavant prêté une oreille très distraite à quelques morceaux vite fait via internet, mais le déclic n’est pas venu. Je me disais que ça pourrait être tout au plus potable sans être particulièrement convaincu. Ce déclic arrivera pourtant tardivement lors de ce concert à Limoges. En  ce qui me concerne plus précisément le spectacle de « Celtibeerian » fut le meilleur de la soirée, et de loin. On y retrouvait une grande convivialité, du partage, des sourires adressés à l’assistance, et surtout de la très bonne musique. On pourrait s’essayer à rapprocher ce combo à l’équipe finlandaise bien connue : « Korpiklaani ». La musique offrait quelques similarités et l’approche paraissait bien plus chaleureuse. Le chanteur/bassiste profitait des quelques petites entractes qui leur étaient offerts pour parler à la foule, blaguer et détendre l’atmosphère. Il y eut un moment où celui bu un peu du vin contenu dans une gourde traditionnel pour ensuite la jeter à moitié pleine aux spectateurs, qui ne sont sans doute pas fait prier pour en goûter. On sentait la troupe moins incommodée par la chaleur, bien qu’elle obligea le guitariste et le bassiste à jouer torse nu. La setlist privilégiait les morceaux figurant dans leur second album. L’excellent « The Booze Song , issu de cet opus, fut joué en toute fin, durant le rappel, juste avant le morceau fait en collaboration avec Jonne et Tuomas de « Korpiklaani », « This Simple Life », comme pour corroborer nos impressions au sujet d’un éventuel lien de parenté avec le géant de folk metal finlandais.

Set-List : 1. Keltorevolution / 2. Unbury the Horn / 3. Praise to the Vineyards / 4. Fields of Celtiberia / 5. Under Lug’s Sight / 6. Kladimoi / 7. Win Another Battle / 8. The Path / 9. This Simple Life / 10. The Booze Song

Stille Volk

A l’inverse des groupes qui l’ont précédé et de celui qui va lui  succèder, « Stille Volk » se caractèrise par le fait de ne point utiliser une once de metal dans leur musique. En vérité, il s’agit d’un groupe de folk traditionnel, qui s’est fait pleinement accepter dans le milieu metal. Un folk bien dans l’esprit occitan, le rendant si particulier. Ces informations n’ont que peu d’importance, il faut avouer que la formation en question jouit d’une solide réputation et a déjà participé à de grands shows et festivals. Quelques personnes connaissent par cœur la plupart de leurs compositions, à ce que j’ai pu constater auprès de l’assistance. A quelques mètres près de moi, il y en avait un qui entonnait à vive voix tous leurs titres, qu’ils soient connus ou moins, aussi bien les couplets que les refrains. Le cas unique. Je ne partageais pas le même entrain que cet étonnant personnage. J’avais déjà assisté à un show du tonnerre de Dieu de « Stille Volk » au Hellfest 2013 à la fraicheur du matin. C’était subjuguant, régalant. Ça n’avait rien à voir avec ce que j’écoutais ou je regardais de bien près. La troupe était toujours aussi impressionnante, mais leur musique l’était bien moins que l’année passée. Le dernier album en date était à l’honneur, on cernait de plus le côté moins festif que m’avait paru l’ouvrage studio (bien qu’intéressant, novateur). Mais ce n’était pas les titres en eux-mêmes qui faisaient défauts. « Stille Volk » s’affaissait devant moi au fur et à mesure qu’ils asséchaient leur setlist. Il était drôle de voir le guitariste se dépatouiller pour changer une corde cassée. Occasion qui aurait pu leur permettre de plaisanter avec le public, au lieu de cela l’équipe ne dégageait que très peu d’émotion. J’ai même eu le déplaisir de découvrir leur titre phare « Le Banquet » en toute fin de concert, fade au possible, alors que j’ai encore le souvenir qu’il avait été impérial lors de leur passage au Hellfest. Une fois terminé, ils étaient très pressés de partir, ne jetant plus un seul regard au bas de la scène, ne répondant pas la moindre demande diverse d’un quelconque spectateur. Cela avait fini de me refroidir, en plus des prix affichés pour leurs albums. A 15 euros l’unité, on est un peu éloigné des 10 euros du stand de Holy Records au Hellfest. J’avais rarement vu des albums aussi chers sur un stand de merchandising lors d’un concert. Ça ne m’avait néanmoins pas coupé l’envie d’en prendre deux et de conseiller à un novice au groupe de prendre le volume précédent, le meilleur à mon avis.

Eluveitie

La farce commence. Pour pas mal de monde présents dans la salle, « Eluveitie » était le seul groupe qui avait de l’importance. La seule raison de leur déplacement ce soir-là. Ayant déjà de sérieux doutes quant aux capacités du groupe helvète et à son avenir, c’était plutôt une simple curiosité de mon côté. De mon point de vue un groupe comme « Stille Volk » était plus émérite qu’« Eluveitie ».  Entre les gens qui rapportent leurs expériences de concerts tout juste passables et les différents albums à la suite de « Slania » qui ont dégradé au fur et à mesure l’image de monument du folk metal que l’on se faisait, il y a franchement de quoi douter et refuser d’être un mouton bêlant. « Eluveitie » est en tournée pour promouvoir un album sans le moindre intérêt, un remake qui a pour nom « Origins », mais ses origines ne remontent pas à « Spirit » comme il aurait pu être espéré, mais à l’album qui l’a précédé « Helveitos », faisant ainsi une maladroite répétition. Ça n’a pourtant pas faibli la notoriété de la formation, comme on pourra le constater ce soir-là. Beaucoup de jeunes gens ne connaissaient qu’eux et n’avaient d’yeux que pour eux.

De mon côté, les contrariétés tombaient de plus belle comme une averse de moisson. Un membre du staff technique m’indiqua qu’il était impossible de photographier au-delà des trois premiers morceaux. Une décision amusante qui venait de nos chers suisses eux-mêmes. Tiens au fait, pourquoi les trois premiers et pas les trois derniers ou trois du milieu. On a eu le droit à des flashs de spot justement sur les premières chansons, qui gâchaient une grande quantité de photos. Je dois reconnaître que l’éclairage ne facilitait pas du tout la tâche ce soir-là. C’est à l’autre extrémité que ce fut lors du passage de « Morbid Angel » et « Gorod » dans cette même salle. On pouvait alors se plaindre que c’était bien trop sombre, surtout pour « Execution », celui qui avait précédé « Gorod » et « Morbid Angel ». Là c’était bien trop illuminé, des spots étaient de face, quasiment à l’horizontal. Pour couronner le tout, le comportement de quelques énergumènes dans la foule laissaient vraiment à désirer. Qu’il y ait un pit au milieu de la salle sur du folk/death mélo un peu pâteux je comprends parfaitement et c’est une très belle coutume. Mais qu’un type qui a passé la quarantaine, alcoolisé de surcroit, se mette à jouer les auto-tamponneuses sur des nanas qui pourraient presque être ses filles et au second rang seulement, bien loin du chaudron, c’est carrément moins cool.

Les filles en question cherchaient à raisonner le malotru, ce à quoi ce forcené leur répondait à chaque fois : « c’est un concert metal ». J’en avais pas forcément l’impression. La part metal d’ « Eluveitie » se caractérisait au growl de Chrigel et au son en sourdine que produisaient communément la basse et les deux guitares. Il était navrant de constater que trois instruments étaient à l’origine d’un son unique, quasi inaudible, ne trahissant aucune dextérité ou technique. Le guignolo qui arborait tee-shirt, sourire béat, et qui sautillait comme une gogo-girl avait réussi à me gonfler aussi. Je profitai de mon manque d’intérêt de ce qui se passait sur scène pour lui faire part de mon ras-le-bol en lui pressant d’arrêter d’emmerder les filles ou de filer quelques mètres derrière pour partager des coups avec ceux qui ont réellement envie d’en recevoir et d’en donner. Voyant qu’il avait affaire cette fois à un membre de la gente masculine, le ton est tout de suite monté. Sans me laisser aucunement intimider j’ai renouveler le message avec fermeté et il s’est ensuite empressé d’obtempérer à la joie des adolescentes qui voulaient juste profiter pleinement de leur concert.

J’étais loin de savourer comme elles, la grande formation « Eluveitie » m’avait paru ô combien décevante. Autant certains groupes antérieurs paraissaient trop statiques autant chez les suisses les mouvements étaient de trop et vous fichaient un sacré mal de mer. Je dois admettre cependant que les deux filles de la bande se situaient bien au-dessus du lot. J’ai vraiment dégusté les parties au violon et à la vielle, ainsi que la douce voix d’Anna Murphy sur « Vianna », titre d’ « Origins » que j’avais pourtant décrié, mais qui se révèle dans sa splendeur en live. Une spectatrice montée aux épaules d’un ami lui offre une fleur noire en plastique, Anna se découvre alors dans toute sa timidité, à la fois touchée et quelque peu gênée, montrant aux premières loges un sourire crispé. Elle mérite, elle, les hommages. Nicole Ansperger aurait dû recevoir une rose blanche. Aux autres, à tous les autres, il n’y aurait eu que des épines. Peut-être suis-je sévère, néanmoins il m’apparait au grand jour qu’il y a un véritable décalage entre les différents membres, qu’« Eluveitie » ne devrait logiquement plus être considéré au statut de formation de pointe. Mais il y aura toujours des consommateurs peu avertis, comme il y aura toujours foule à aller manger dans un Mac Donalds.

Set-List : 1. King / 2. Nil / 3. From Darkness / 4. Carry the Torch / 5. Thousandfold / 6. AnDro / 7. Sucellos / 8. The Call of the Mountains / 9. Omnos / 10. The Nameless / 11. Inception / 12. Kingdom Come Undone / 13. The Silver Sister / 14. Vianna / 15. A Rose for Epona / 16. Quoth the Raven / 17. Havoc / 18. Helveitos / 19. Inis Mona

Cette soirée se sera mal conclu pour mon compte. Aussitôt « Eluveitie » parti j’hésite un premier temps à prendre un verre avant de partir. J’ai eu chaud toute la soirée cantonné au premier rang, que je n’avais pas quitté pour prendre des photos. Puis, vue la foule je me décide à flâner dans les stands. Je m’arrête à « Stille Volk », puis à « Celtibeerian », mais je ne pourrais pas suivre à celui de « Eluveitie » ni retourner en bas pour m’acheter à boire. Un vigile me colle aussitôt et m’ordonne de quitter le champ puisque je n’avais pas de pass. Je n’étais pas au courant qu’à 1 heure il fallait absolument déguerpir. Je n’avais pas l’habitude de partir d’un concert aussi tôt dans la soirée. Interloqué, je constate que d’autres personnes, des plus vieux en mode touriste et acheteurs, trainaient dans le coin et n’avaient pas l’immense privilège d’avoir un sbire pour tuteur. Devant les injonctions mal aimables et répétées du vigile je décidais d’en faire fît et de continuer à demander des autographes aux membres de « Celtibeerian », des gens sympathiques avec qui je m’évertuais à retrouver quelques bribes de la langue castillane. Il n’était pas question pour eux de quitter les lieux, ils n’étaient pas prêt d’évacuer leur stand, comme c’est le cas des autres. Ce qui a continué de m’interroger. Au bout de 5 minutes le garde finit par perdre patience et me pressa vers la sortie. C’était une première pour moi tout simplement. Consommez et partez. Je remercie néanmoins l’organisation qui s’est entretenue par la suite pour me présenter des excuses et m’a informé qu’il y avait bien l’obligation de vider
les lieux à partie d’1 heure du matin. Cette mesure me paraît toujours aussi surprenante avec le recul. A Bressuire, les concerts se finissent parfois à plus de 2 heures du matin. A cette heure précise, quelques jours avant Noël 2014, j’étais encore fumant de colère et assoiffé, à deux doigts de m’arrêter pour laper une flaque d’eau, sur la route qui sépare Limoges de Poitiers.

5 Commentaires

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AlonewithL - 11 Janvier 2015: Voici ce que j'arrive à faire par mes propres moyens: http://metal-blogs.com/alonewithl/2015/01/11/eluveitie-guests-limoges/
 
Mizu - 14 Janvier 2015: Je tiens à te dire que si tu les aimes pas, déjà tu restes chez toi. Les groupes ne peuvent rien sur le fait que tu ne sois pas foutu d’arriver à l’heure, nous on venait de Tarbes, et on était là avant que cela commence, on aime bien sûr Eluveitie mais on voulait être là pour tous les autres groupes, certains avait été de superbes découvertes juste avant le concert. Map ça existe, tu aurais su pour les deux heures de route. Je tiens surtout à préciser que, pour la rose au départ, je cherchais seulement à offrir un cadeau au groupe tout entier, les ayant vu à Toulouse, j’avais énormément envie de les remercier, tous, pour le super moment qu’ils m’avaient fait passer. J’ai plein de roses dans mon appart, en écoutant A rose For Epona j’ai eu l’idée de la rose, c’est tout con. Je l’ai certes offerte à Anna, parce que c’est la chanteuse, et celle qui joue de la vieille pour cette chanson aux paroles magnifiques, ça m’a rapproché d’elle un instant, je ne pensais pas qu’elle pouvait être timide, c’était un chouette moment et une chouette relation entre cette rose que toute la foule lui tendait et pas seulement moi, et le groupe Eluveitie. Alors, gardes tes commentaires pour toi, si tu n’aimes pas, c’est ton droit, mais venir te plaindre parce que tu as voulu assister à un truc que tu sais pertinemment que tu n’aimes pas ça c’est autre chose… Te le fais pas endurer si tu sais que ça t’emmerde. C’est logique, je pense. Et ne te hasarde pas à déclamer ta pensée concernant ce cadeau au titre de la personne qui l’a offert. Point. On aurait du offrir une rose à tous les membres, des roses rouges, pour la chanson. J’ai juste eu un gros penchant pour la noire mais j’aurai du en choisir une rouge. Je serai d’accord au moins sur un point, c’est dommage qu’il n’y ait pas eu de vidéos, j’aurai bien aimé revivre le moment où j’ai offert la rose, j’étais tellement paniquée à ce moment là de la déranger que je n’ai pas pu apprécier pleinement ce moment. J'ai l'impression que nous n'avons pas assisté au même concert, il n'y qu'à voir la video d'Inis Mona sur youtube, le public se met à chanter dès les premières notes, avant même que le chanteur ne commence... Ce concert c'était également plein de belles rencontres avec des gens vraiment sympathiques, j'en reviens pas que tu es allé embêter les gens, à ça pour sauver de jeunes filles en détresse y'a du monde. On dirait qu'il n'y a que cela qui t'est plut, aider deux jeunes filles et les musiciennes de Eluveitie. Non vraiment, tu es venu en te disant que tu allais passé une mauvaise soirée et donc tu as passé une mauvaise soirée.
AlonewithL - 16 Janvier 2015: Salut à toi! Je crois que tu n'as pas tout lu... ou du moins tu t'es évertuée à ne retenir que mes remarques négatives. Peut-on dire que j'ai fait du bashing alors que je reconnais que Celtibeerian ont bien joué, tout comme Drakwald et même les membres féminins d'Eluveitie, comme écrit. La contre-performance de Stille Volk a même son explication (que j'ai su après). Je ne suis pas le seul à penser qu'Eluveitie peut être chiant en concert. J'ai surtout remarqué le jeu en sourdine des guitares et une set list assez linéaire, surtout avec les derniers titres en date. Tu es une archie fan du groupe. Je trouve ça fort profitable d'avoir des passions et des convictions. Néanmoins, personne autre que moi n'a le droit de parler en mon nom et d'interpréter mon subconscient. J'ai parfaitement le droit de communiquer les faits et gestes tenu en public ou de donner mes impressions façonnées par de multiples concerts et de multiples écoutes. Sache que je n'ai jamais d'avis définitif sur un groupe. à bon entendeur...
orionzeden - 18 Janvier 2015: Effectivement on peut pas changer ce que tu as ressenti, et je trouve ça aussi débile, par exemple, de restreindre les photos à trois morceaux. Mais sur les consommateurs peu averti je sais pas, la comparaison avec Mac Donald est pourtant bien trouvé, c'est le même problème, mais justement le fait d'aimer la grande cuisine ou juste de la bonne charcuterie, etc n'empêche pas d'apprécier un Macdo ( de temps en temps...) Après, pour Eluveitie j'ai l'impression que Nuclear Blast n’hésite pas à le mettre bien en avant parce qu'ils ont déjà une notoriété assez grande pour que ça soit facilement rentable, et ça a peut être tendance à surestimer le groupe... et peut être que ça lui nuis, car à la base il a toujours eu des qualités. ( je suppose qu'il a mérité sa notoriété, au moins au début)
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