Mes rêves sont assez glauques mais bon. Rêves clostros...
Cela se passait dans une station de métro à Paris. Une minuscule
station où les quais étaient tout petits, donc il fallait faire
attention où on marchait. Le plafond était très bas. Il devait y avoir
environ 10 personnes dont moi. Et puis je ne sais pas pourquoi, il y
avait des militaires qui posaient des bombes sous les wagons pour voir
l'ampleur de l'explosion.
Au début, les explosions était petites et ne nous touchaient pas si
l'on courait assez loin. Et la dernière explosion a été énorme. Les
militaires sont morts. Seuls moi et deux autres personnes avions
réussis à survivre. Mais pas sans difficultés... En effet, je me
souviens que dans mon rêve, quand le bruit de l'explosion s'est fait
entendre, je me suis vu dans mon propre champ de vision, courir vers la sortie. Seulement
la fumée étant trop importante, je ne voyais rien. Un homme en face de
moi avait réussi à courir jusqu'à la prochaine station en passant par
le tunnel. Et moi j'étais tellement paniqué que je regardais autour de
moi dans l'espoir de trouver une porte de secours sans m'enfuir. Mes
jambes étaient lourdes. Et plus la fumée était dense, plus je
m'asphyxiais. J'étais en train d'agoniser à la recherche de l'air. Je
mettais un klinex sur ma bouche pour ne pas avaler la fumée mais rien à
faire. La fumée envahissait mes poumons et m'irritait la gorge. A la
fin, ce n'était plus de l'air que je respirais mais de la cendre...
Je sentais mon corps se contracter... Issue impossible... Respiration
bloquée... Mon corps trop affaiblit pour courir comme l'autre homme
jusqu'à la prochaine station... Je le voyais s'enfuir en le percevant à
peine à travers la fumée... Mes jambes voulaient le rattraper mais je
suis resté comme collé au sol... Et je m'entendais respirer à la
recherche de l'air pur, désespérément, et plus j'avalais la fumée, plus
je respirais vite... Puis les murs de la station se sont
rapprochés de moi doucement, prêts à m'écraser. J'avais peur... Je voulais
simplement de l'air... Dans tous le rêve, dans ma tête, je me disais :
il faut que je trouve de l'air ou une porte de sortie. Je me disais
aussi : " cours... Allez... Dépêche-toi... Mais pourquoi tu reste là à
te regarder crever dans cette putain de station...!? Alllez !!! " Et
rien à faire... Mon corps ne bougeait pas. Je sentais que la fin était
là... Que j'allais souffrir. Avoir très mal. Non seulement à cause de
ces murs mais aussi à cause du manque d'air qui me faisait mal aux
poumons.
Voilà
j'ai écrit mon rêve juste après m'être réveillé pour ne pas l'oublier! je m'étais endormie sur mes cours d'anglais un mercredi après-midi comme j'avais un DS
bah on voit tout de suite que j'étais inspiré par mes cours !
J'en aie fais plein d'autres comme ça que j'ai écris mais bon tous aussi glauques les uns que les autres! j'commence à me demande si ça voulait pas signifier quelque chose comme : le besoin de changer d'air ( étant donné dans la période de déprime où j'étais ) ou bien une alerte pour me dire que la cigarette c'est pas bon mdr ! Et c'est bien possible sauf que je m'arrêterai pas. Mais c'est sûrement à force d'entendre les gens me repeter 100 fois que c'est mauvais. Mon inconscient a du l'enregistrer. Enfin bon après on peut l'interpréter comme on veut mais bon ^^ moi je ne vois ( pour moi dans ma vie ) que ces deux solutions.
Bonne aprem !
Mais on dit qu'un jour, pendant qu'un gamin était en train de jouer, la scie à côté s'était mise étrangement à fonctionner, et a coupé le garçon en deux!
Et vous savez quel était son nom? Kenny MacKormick ...oui, le Kenny de South Park! 
Du coup, je me suis barré, et je me suis réfugié dans une sorte de placard à balais. Mais coup de théâtre! Pour je ne sais quelle raison, Kenny était revenu à la vie, et voulait s'abriter avec moi dans mon placard. Alors je l'ai envoyé chier en disant: "Non, casse-toi, Kenny, tu portes la poisse!". Et puis mon rêve s'est arrêté là (il était temps!). 
...,bon elle faisait des calins a un mec dans la salle d'histoire...
