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Biographie : Ektomorf

Vous savez vous ce qu'il y a entre Sepultura et Soulfly ? Les plus malins vont répondre, "une belle paire d'années et de talent" ou quelque chose comme "ça n'a rien à voire abruti ! (version censurée)". C'est au choix. Soit. Mais entre les deux, il y a Ektomorf, un combo de metal tribal. Hongrois. D'où forcément, le seconde question, vous vous y connaissez-vous en metal tribal hongrois ? Ouais, on fait moins les malins là hein ? Pour ma part, j'ai pris bulgare et slovène à la Fac alors.
Plaisanteries mises à part, derrière ce nom un peu barbare (Ektomorf, faut quand même le vendre le nom du groupe auprès du public), se cachent Zoltán (guitare et chant), József (batterie) et Tamás (guitare), tous trois très largement influencés par les méfaits discographiques d'un certain Max Cavalera, notamment le chanteur/ hurleur, dont la voix rappelle étrangement celle de l'actuel leader et guide spirituel de Soulfly. Qu'on se le dise, si le combo n'est pas encore très connu par chez nous, Ektomorf existe depuis une bonne petite douzaine d'année et a une discographie déjà bien fournie avec pas moins de six albums produits entre 1998 et 2005 (parmi lesquels I Scream up to the sky et Destroy notamment).
Nourris au pur thrash metal qui déboîte (Sepultura et Kreator en tête), les Hongrois se défoulent en proposant ce qu'ils appèlent du thrashcore, soit un mélange de thrashmetal, de hardcore, de sonorités punk et d'influences bien de chez eux. Une fois passé dans le shaker, le cocktail Ektomorf est près à être servi. Accrochez-vous, c'est du brutal